Tests

Marvel's Spider-Man : Miles Morales

Noir c'est noir

Quand il n'y a plus d'espoir : violences, milices, fresque murale Black Lives Matter en jeu... Marvel's Spider-Man : Miles Morales tourne le dos à la Terre-1610 pour nous renvoyer à l'actualité dans ce qu'elle a de plus tragique. Un parti pris étonnant quand on connaît l'amour des développeurs pour le matériau original, qui laissait espérer beaucoup plus de folie et de délires – à l'image du film d'animation Spider-Man : New Generation.

Yakuza : Like a Dragon

Comme un boss

Septième épisode de la série principale, Yakuza : Like a Dragon avait le même but que ses prédécesseurs : renouveler sans cesse son archétype (celui du yakuza, membre de la pègre japonaise) afin de toujours donner au joueur l'envie de revenir. Et le moins que l'on puise dire, c'est que le résultat s'avère concluant.

The Falconeer

Un titre de lancement passé inaperçu ?

Développé par un seul homme (Tomas Sala), The Falconeer est une exclusivité Xbox plutôt prometteuse sur le papier : chevauchant un faucon, vous embarquez dans une aventure à l'univers riche... Peut-être un peu trop, d'ailleurs. Explications.

Mad Rat Dead

La rage de vivre, le désespoir de mourir

Dans une ambiance cartoon et jazzy, Mad Rat Dead se définit comme un jeu de plateforme musical : pour faire avancer votre rat de laboratoire à travers les niveaux, il vous faudra appuyer en rythme sur les touches de déplacement et d'action. Sur le papier, pourquoi pas. Mais une fois le jeu lancé, est-ce que vous dandiner sur une musique suffira à vous faire échapper du labo ?

DiRT 5

Patchin' DiRTy

Longtemps après Petula Clark, c'est au tour de DiRT 5 de célébrer la gadoue. La gadoue qui éclabousse, qui salit, qui aveugle. La gadoue dans laquelle pataugent des monstres hurlants aux couleurs acides... ainsi que les jeux sortis manifestement trop tôt. Bienvenue dans le monde très arcade de DiRT 5, le jeu de rallye décomplexé et précipité de Codemasters.

Watch Dogs : Legion

Dogs save the Queen

Élever le hacking au rang d'art, c'est un peu le leitmotiv de la série Watch Dogs depuis maintenant six ans. Après un premier volet fondateur plutôt sombre et sérieux, et un second nettement plus bac-à-sable et feel good, avec ce troisième opus il apparaissait évident qu'Ubisoft devait enfin choisir la voie sur laquelle cette licence pourrait exprimer tout son potentiel. Pas de suspense inutile : Watch Dogs : Legion coche toutes les cases de l'évolution réussie.

Tribune libre