Après le succès retentissant de Furi, le studio montpelliérain The Game Baker revient titiller nos manettes avec Haven. Pourtant, loin de l'idée tentante de poursuivre l'aventure commencée il y a quatre ans, un concept étonnant émerge des studios héraultais : suivre l'aventure d'un couple. Musique électronique, game design léché, dès l'introduction vous savez que vous partez pour un jeu atypique.
Si le nom de Serious Sam ne vous dit rien, c'est probablement que vous êtes jeune. Pourtant, sachez que l'on parle ici d'un FPS qui a connu son heure de gloire, à une époque où le genre ne se prenait pas au sérieux et ou dynamisme était le maître-mot. Alors que le quatrième volet est sorti récemment sur PC, l'arrivée d'une compilation intitulée Serious Sam Collection, qui regroupe les trois premiers jeux, est une autre occasion de voir si cette série a bien vieilli.
HAL Laboratory, le studio légendaire affilié à Nintendo, traverse les années en sifflotant. Leurs faits d'armes sont exceptionnels et le navire Super Smash Bros immense, imprenable. Avec un Kirby en figure de proue, HAL Laboratory traverse les mers en observateur tranquille, expérimentant l'air de rien les styles, les supports ; parfois pour le gain, parfois pour la beauté du geste. Part Time UFO appartient à la seconde catégorie.
C'est d'une collaboration des développeurs d'Auroch Digital avec l'ESA (European Space Agency) et l'UK Space Agency que Mars Horizon voit le jour. À l'heure où la planète Mars s'inscrit comme étant au cœur des aspirations de conquêtes spatiales, c'est autour de ce rêve que le jeu propose de faire graviter son propos ludique. Reste à savoir si le premier pas sur la planète rouge n'est qu'un doux rêve, ou bien une réalité.
À sa sortie en 2016, Chronos avait fait forte impression dans le monde des jeux en réalité virtuelle. Quatre ans plus tard, THQ Nordic et Gunfire Games nous proposent un portage sur consoles et PC avec la sortie de Chronos : Before the Ashes. N'en déplaise aux sceptiques, le résultat est bluffant.
Pikmin appartient à cette génération folle de jeux bénis sortis sur GameCube. Des licences tellement inventives et décomplexées que les secousses se répercutent encore aujourd'hui. Pikmin ne déroge pas à la règle, tellement à part sur le plan géographique – entre exploration, gestion, stratégie et aventure – qu'il avait formidablement trouvé sa place sur la Wii U où le Gamepad permettait ce déploiement de jouabilité. Qu'en est-il sur Switch où par définition le jeu doit se délier des manques ?