Une prise de risque payante ?
Dangerous Golf porte bien son nom puisqu'il tente à sa manière de chambouler le monde trop conventionnel des jeux de golf. Et ici, il ne s'agit pas des habituels pouvoirs et destinations exotiques. Non, Dangerous Golf vous propose de tout casser.
"Sur 4, je lui mets un 5 !"
Furi bénéficie d'une sortie plutôt confidentielle malgré sa présence dans le programme PlayStation Plus. Il faut dire que The Game Bakers passe ici du tout au tout, troquant les calamars de Squids Odyssey pour une sorte de samurai à la fois stoïque et muet.
Kholat fait partie de ces jeux que l'on pourrait davantage qualifer d'expérience vidéoludique. Avec son monde ouvert, ses indications visuelles absentes, sa prise en main à la va-comme-je-te-pousse censée faire "plus vrai", ses énigmes étranges, il a tout d'un jeu que vous allez adorer détester.
Un foudre de guerre pourtant fragile
D'abord connu pour de la sous-traitance, le studio Spiders s'est lancé il y a quelques années dans la création de son propre catalogue. Après le surprenant Mars, c'est au tour de The Technomancer de se montrer, nouveau jeu de rôle SF se déroulant sur la planète rouge. Attention au coup de foudre.
Une dystopie qui rend heureux
Pas facile pour un studio indépendant de revenir après un premier jeu acclamé aussi bien par la critique que par les joueurs. Avec Inside, l'équipe danoise de Playdead tente de réitérer la surprise de Limbo, tout en conservant les mêmes ficelles.
Quand on a du mal à accoucher d'un nouveau jeu, faute de liquidités et d'un véritable appui de son éditeur, comment s'en sortir pour un jeune studio ? En proposant une version Director's Cut de son premier bébé, auréolé – en 2012 – d'un joli succès d'estime. Voilà l'histoire de Deadlight : Director's Cut. Et voici maintenant son test.