Un fan-service assumé mais peu assuré
Ça y est, il est là, celui qui nous a fait baver pendant des mois par ses promesses de jours meilleurs. Dragon Ball FighterZ est enfin accessible et les fans de la série n'ont d'yeux que pour lui. Pourtant, après autant d'épisodes vidéoludiques égarés, la saga inspire plus de craintes que de bons souvenirs. Venez tous à la "Kame House", Goku et ses amis vous y attendent.
Le mieux comme ennemi du bien
Adulés, copiés et pourtant difficilement égalés, les J-RPG des années 90 restent gravés dans les mémoires des joueurs comme des références absolues. Après I am Setsuna, Tokyo RPG Factory tente à nouveau sa chance dans un genre placé au rang du divin. Lost Sphear déboule pour nous rappeler nos meilleurs souvenirs. Vantardise mal placée ou véritable succès, seuls les joueurs pourront en décider.
Deux ans après la sortie de Mega Man Legacy Collection, Capcom ressort le réchaud à vieillerie collector et propose Mega Man Legacy Collection 2. Une nouvelle compilation pour séduire les vieux joueurs que nous sommes ? Pas si sûr puisque le dernier jeu de la collection a moins de dix ans.
Un futur salement possible
Quand vous prenez le pire de ce qu'un futur technologique un peu sale nous réserve, couplé à une enquête policière dans un huis clos, vous obtenez un chef d'œuvre comme on en voit peu. Observer rebat les cartes du genre, tout en s'appuyant sur des références bien connues des joueurs, en faisant un probable héritier non officiel de Blade Runner. Allumez vos implants, prenez une grande inspiration et plongez dans un univers glitché salement probable.
Blazko le barjo n'a pas fini le boulot
Trois ans après près un New Order nerveux et bienvenu, Machine Games et Bethesda remettent le couvert avec Wolfenstein II : The New Colossus. Comme le bruit sourd du marteau sur le métal chauffé à blanc, Wolfenstein tape fort et nous démontre une nouvelle fois que le FPS n'est pas si stupide. Humour politique, références historiques et dézinguage de nazis s'allient parfaitement dans ce nouvel opus.
Décidément, c'est une drôle d'année pour les rois du sport. Après FIFA 18, c'est au tour de NBA 2K18 de faire (un peu) grise mine. À croire que lorsqu'on domine trop son sujet, on finit par la jouer facile. Heureusement pour elle – et contrairement à celle d'Electronic Arts – la simulation de Visual Concepts n'a pas vraiment de concurrence...