Disparue des radars depuis plus de dix ans, la série principale des Ace Combat avait pendant quelques temps laissé place à Ace Combat : Assault Horizon. Pourtant, aujourd'hui c'est bien Ace Combat 7 : Skies Unknown qui pointe le bout de ses ailes, et cela sur console de salon. Faite sortir le Tom Cruise qui est en vous pour un vol qui se promet agité.
Allez vous faire chouchouter chez les Grecs
Après l'Égypte Ancienne et un Origins des plus envoûtants, la série Assassin's Creed revient sous la forme d'une véritable odyssée, grecque de surcroît. Et au regard du temps que vous allez y passez, le terme d'odyssée n'est vraiment pas usurpé. Ce test n'a donc pas pour ambition de vous convaincre de plonger dans ce nouvel opus, mais plutôt de vous alerter sur la somme colossale d'heures qu'il va soustraire à votre temps libre. Vous voilà prévenus !
La générosité qui masque les imperfections
Deux ans après le magistral Wonder Boy : The Dragon's Trap, Monster Boy and the Cursed Kingdom vient lui aussi rendre son hommage. Là où le premier se voulait la copie carbone sur papier chic d'un jeu presque trentenaire, le second se veut plus en phase avec son époque en n'ayant rien perdu de son âme d'enfant. En somme, « faire du neuf avec du vieux », le credo actuel d'une génération qui aime les jeux vidéo fripés mais néanmoins emplis de noblesse.
C'est avec une impatience forte que Mutant Year Zero était attendu par la communauté ludique admirative du jeu de rôle sur papier : les premières images étaient à tomber, l'ambiance filait la chair de poule, le jeu était d'ores et déjà en odeur de sainteté. Puis Mutant Year Zero est sorti, amenant avec lui ses statistiques de combats... à sens unique.
Faire revivre des licences disparues peut sembler une bonne idée, que ce soit pour les joueurs ou l'éditeur. Et mettre en avant Onimusha : Warlords a de quoi susciter l'émoi, mélangeant nostalgie d'un jeu chéri par beaucoup et potentiel important pour un nouvel épisode. Pourtant, Capcom nous a habitué progressivement à des jeux remasterisés d'une qualité très limite. Préparez votre plus beau wakizashi pour faire seppuku à vos souvenirs.
Souris, sot ! Ce conte est beau !
Passé par IndieGogo, le succès n'avait pas été total. Pourtant, le raffinement de Ghost of a Tale avait séduit les responsables de la plateforme de financement participatif. Après cinq ans de développement, SeithGG, Louis Gallat de son vrai nom, présente un action-RPG, un conte et une baffe graphique en un seul et même projet. Vous l'aurez compris, Ghost of a Tale ne laisse pas indifférent.