Vous repartirez bien en Erasmus au fin fond de l'Espagne ?
En 2005 Resident Evil 4 marque un tournant dans l'interprétation de l'horreur par Capcom en mettant l'accent sur l'action, aux antipodes de ses aînés. Et pour le plus grand plaisir des joueurs. 14 ans après, ressortir ce hit sur Switch c'est comme fouiller dans les cartons d'une brocante et retomber sur une perle. Vous soufflez un gros coup sur la boîte crasseuse pour la dépoussiérer et restez songeur quelques instants. Comment la fille du président a-t-elle à ce point raté son Erasmus ? L'Espagne concentre-t-elle le plus de machines à écrire au kilomètre carré ? Qui est ce marchand qui a une boutique jusque dans la chambre du noble local ? Trop de questions auxquelles vous n'avez toujours pas les réponses. L'occasion de replonger ?
En avance, mais dans les clous
Quand nous avons su que F1 2019 sortait plus tôt que d'ordinaire, inutile de dire que les craintes étaient présentes. Un changement probablement lié au désir de coller au début de la saison de Formule 1. Alors, la cuvée 2019 pâtit-elle de ce changement ?
N'est pas Diablo qui veut !
Ah, Warhammer, son univers Dark Fantasy inspiré de Tolkien dont sont issus de nombreux jeux de figurines ou le jeu de société Heroes Quest. Des années 90-2000 et de ce que nous nous souvenons de meilleur, il ne vit aujourd'hui qu'une série de jeux vidéo qui exploite l'univers des gars de Games workshop. Warhammer : Chaosbane essaye d'approcher une autre référence, Diablo, mais les risques sont grands et le duel pourrait vite tourner au carnage. Sortez votre hache de guerre et jetez-vous dans la mêlée.
Côté jeux de course, nous avions laissé Sonic avec la sympathique licence All-Stars Racing. Une série plutôt réussie, et dont le dernier épisode en date (Sonic & All-Stars Racing Transformed) permettait de parcourir les airs. Malgré un succès d'estime, il manquait à ces jeux une base assez solide, que l'éditeur japonais pourrait exploiter et peaufiner sur la durée. C'est ce que réussit à faire Team Sonic Racing.
La rage du contenu manquant
Rage 2, mélange entre Mad Max et Doom, le tout dans un open world édité par Bethesda, vous vous dîtes "banco" ! Pourtant, le dicton selon lequel "le mieux est l'ennemi du bien" pourrait bien s'appliquer ici. Explications .
Le nom de From Software apparaît à l'écran que vous transpirez déjà ? Étrangement, accolé à celui d'Activision, la peur passe déjà bien vite et l'idée d'un jeu dans la lignée des Dark Souls mais en plus facile avait de quoi inquiéter. Pourtant, les premières minutes suffisent à rassurer : vous n'allez pas mourir que deux fois dans Sekiro : Shadows Die Twice.