Au voleur ! Au voleur ! Il est parti par là. Heu, non par là. Enfin par ici... Stolen vous met dans la peau d'une voleuse de talent, Anya Romanov, qui aidée par des gadgets technos en tout genre et une combi en cuir moulant, trouve son bonheur dans le vol à haut risque. Déja sorti sur console (Xbox et PS2) avec un succès mitigé, les petits nouveaux de Bink52 adaptent cette fois-ci leur premier jeu phare sur PC. Saura t'il en tirer tous les avantages et apporter un peu de nouveauté au genre ?
Tiens ? Encore une nouvelle adaptation qui sort conjointement avec le film dont elle est le pendant vidéoludique. Alors même qu'on a toujours en mémoire un Catwoman plutôt moyen, pour ne pas dire médiocre, Electronic Arts récidive avec ce Batman Begins multi-plateformes dont on n'espérait donc pas grand chose. La surprise en est d'autant plus agréable.
Après Chrome, Techland nous remets ça sous une nouvelle sauce baptisée Chome : Specforce. Nouvelle ? Pas tout à fait puisque quelques éléments déja présents dans le premier opus se retrouvent dans cette suite. Bref, vous êtes un soldat des forces spéciales du 22ème siècle et vous menez à bien des missions top secret en plein territoire ennemi. Jusque là, ça va. Sauf que les lieux sont vastes et hostiles, les ennemis se planquent et visent bien. Dans tout ce beau bordel, un seul ami : votre armure. Avec des propriétés motrices, défensives, réparatrices, 13 armes, et 5 types de véhicules, on devrait en arriver à bout.
L'écureuil fou existe, il s'appelle Conker. Obsédé, alcoolique, vénal, grossier, la brave petite bête s'avère terriblement humaine. Ses regards pleins de malice, ses bonnes joues rebondies et sa fourrure soyeuse ne donnent que brièvement le change. Les décapitations, les gerbes d'hémoglobine et les jets de caca rappellent vite que ce titre moignon tout plein détourne allègrement les règles habituelles des jeux de plate-forme. Cette rébellion en forme de pied de nez s'avère savoureuse, à condition de supporter quelques défauts bien gênants.
L'été, c'est la saison idéale pour faire des rencontres. Ca tombe bien : 7 Sins ne propose que ça. Rencontres avec des maîtresses dominatrices, des stars peu farouches, et même des hommes ! Autant d'expériences à priori plus exaltantes que votre flirt saisonnier consommé en vitesse au bal musette de Trifouillis-Les-Bains. Hélas, il y a des jeux qui se comportent comme certaines allumeuses : après un premier contact stimulant, on constate un écart décevant entre promesses et voeux exaucés.
Pariah. C'est un drôle de nom Pariah quand même. Qui c'est le Pariah ? Est-ce Jack Mason, le docteur, dont le vaisseau spatial s'écrase comme une fleur sur Terre alors qu'il accompagne une captive dans un centre de détention pour jeunes femmes romantiquement infectées ? Oui bien est-ce cette fille qu'il accompagne, que les autorités rejettent parce qu'elle pourrait contaminer la population galactique ? Ou encore le jeu lui-même, rejeté de la cour des grands fps pour son manque d'innovation ?