Tant de forces, tant de faiblesses
Tellement en manque de run and gun qu'aux premières images de Kemono Heroes notre sang n'a fait qu'un tour. Franchement, depuis Hard Corps : Uprising quel autre jeu s'est montré à la hauteur de ce genre ? Kemono Heroes ? Peut-être, peut-être pas.
Attirant ou repoussant, l'hôpital a toujours suscité la curiosité. Il suffit de voir le nombre de séries TV qui lui sont consacrées. Côté jeux vidéo, c'est un peu moins évident et l'environnement hospitalier pourtant suffisamment touffu n'a été que rarement exploité. La liste est d'ailleurs très rapide à faire car, de mémoire, seul le vieux et hilarant Theme Hospital, sorti en 1997, permettait de prendre la tête d'un hôpital et d'essayer de gérer toutes les joyeusetés qui s'y déroulaient. Et justement, Two Point Hospital n'est ni plus ni moins que le remake de ce petit bijou de gestion.
L'école de vie intérieure
Dead or School est un jeu terriblement alléchant, avec ses airs de production sous acide revenue de l'ère PlayStation 1, ses supers avis sur Steam et un design graphique devant lequel aucun mâle alpha ne peut rester insensible. Autant vous dire que le jeu fut lancé à peine le téléchargement terminé.
De quoi rester sur sa faim
L'environnement de restau, propice à moult jeux de gestion de jonglage entre commandes de clients énervés et plats à préparer en cuisine, a connu récemment ses heures de gloire avec le stressant mais jouissif Overcooked. Served ! semble vouloir croquer sa part du gâteau en proposant un concept qui n'a rien à voir avec son titre : un jeu de course de garçon de café. Ce genre aussi vieux que les fêtes foraines sait-il se renouveler sur la console de Nintendo ? Garçon, un café et l'addition ! Garçon ? Garçoooon ? Zut il est parti courir.
Un coup d'épée dans l'eau
Sorti en 1993, le premier Samurai Shodown (ou Samurai Spirits) rompait avec ses rivaux, les Street Fighter, Fatal Fury et autres Mortal Kombat portés sur l'attaque. Le reboot sorti en 2019 sur PC, PlayStation 4 et Xbox One, Samurai Shodown, rend hommage à son ancêtre : combats au sabre ou à l'épée, déplacements lents, coups qui font mal (très mal), et contre-attaques dévastatrices. Ce portage Switch reprend le même gameplay, mais avec des ratées techniques qui tranchent avec les autres supports.
Le quatrième meilleur jeu de tous les temps
Sous ses airs de No Man's Sky se cache en réalité un Metroidvania fait main. Contemplatif, idiot et subversif, Journey to the Savage Planet démontre des qualités mais surtout une envie folle de liberté. Autant vous le dire de suite, on ne s'attendait pas à un tel jeu.