Le succès de la trilogie du Seigneur de Anneaux de Peter Jackson a ramené Tolkien sur le devant de la scène et l'a fait découvrir au grand public pour qui l'heroic fantasy était une affaire de rôlistes et sûrement pas une activité sérieuse. Les éditeurs de jeux vidéo ne pouvaient manquer une telle licence et nous l'ont déclinée dans de multiples variantes. Avec The Lord of the Rings: The Battle for Middle-Earth, c'est à un jeu de stratégie que nous invitent Electonics Arts et EA Pacific.
Un Painkiller, de l'autre côté de l'Atlantique, c'est un calmant. Sauf que là, ce Painkiller Black Edition nous vient tout droit de la Pologne, et que c'est tout sauf calme. Entre monstres à gogo, multijoueur qui va à la vitesse de la lumière, et making-of longuet, voici le portrait d'une édition collector qui vous fera oublier celle de Ghosts of Mars.
Lorsque les designers de Pharaon, un city builder sorti en 1999 qui offrait au joueur les joies de l'urbanisme de la Grande Egypte, se mettent à la 3D, ça donne Immortal Cities : Les Enfants du Nil. Voyons donc si ce qui est avant tout une adaptation d'un succès passé saura apporter au genre autant de relief que son moteur à ses graphismes.
Les jeux massivement multijoueur, tout le monde connaît : ce sont des usines à bugs dédiées au leveling qui coûtent une fortune à cause de leur abonnement mensuel, des OVNIS vidéoludiques qui ne correspondent à rien de connu et qui ne marchent vraiment, au fond, que pour leur dimension sociale. Enfin ça, c'était avant World of Warcraft, le jeu qui redéfinit brillamment les règles du genre.
Il existe des jeux qui n'ont presque besoin de rien pour exister et passionner le joueur. Des concepts comme Pong, Tetris ou encore Space Invaders, les exemples parfaits du jeu simple et addictif. Si Glory Days a été conçu par un seul homme, Denis Studio, il n'est pas de cette trempe. Un jeu qui a du mal à accrocher le joueur, par son concept qui souffre d'originalité et un gameplay trop peu aboutit. Tous les détails dans le test.
Écrit par
UnexpectedGuest
Un peu marre des Terres du Milieu ? Envie de fracasser de l'orc, mais du vrai, celui estampillé Made in Royaumes Oubliés sur la fesse droite ? Vous avez alors sûrement noté sur votre liste d'achats Forgotten Realms : Demon Stone, pour hacker et slasher au pays de Dongeons et Dragons. Seulement voilà, un doute persiste. Est-ce une bonne idée ? La licence prestigieuse est elle garante de fun et de qualité ? Ne bougez plus, la réponse est ici.