Après le succès retentissant de Furi, le studio montpelliérain The Game Baker revient titiller nos manettes avec Haven. Pourtant, loin de l'idée tentante de poursuivre l'aventure commencée il y a quatre ans, un concept étonnant émerge des studios héraultais : suivre l'aventure d'un couple. Musique électronique, game design léché, dès l'introduction vous savez que vous partez pour un jeu atypique.
Spirit of the North est un jeu indépendant dont l'idée de départ est pour le moins séduisante. En effet, qui ne serait pas attiré par l'idée d'incarner un renard, noble et facétieux animal, dans un voyage fantastique parsemé d'énigmes et de mystères à travers un territoire en ruine qui n'est pas sans rappeler les terres arides du grand nord ? Déjà sorti initialement sur PC, PS4 et Switch en 2019, Infuse Studio ressort son walking sim sur la nouvelle console de Sony à travers une édition Enhanced. Outre l'aspect technique et l'intérêt de cette version PS5, Spirit of the North est une aventure qui lorgne du côté d'aînés prestigieux. Ainsi, le joueur habitué du genre est en droit de s'interroger, le jeu est-il à la hauteur de sa proposition ?
Septième épisode de la série principale, Yakuza : Like a Dragon avait le même but que ses prédécesseurs : renouveler sans cesse son archétype (celui du yakuza, membre de la pègre japonaise) afin de toujours donner au joueur l'envie de revenir. Et le moins que l'on puise dire, c'est que le résultat s'avère concluant.
Un titre de lancement passé inaperçu ?
Développé par un seul homme (Tomas Sala), The Falconeer est une exclusivité Xbox plutôt prometteuse sur le papier : chevauchant un faucon, vous embarquez dans une aventure à l'univers riche... Peut-être un peu trop, d'ailleurs. Explications.
Longtemps après Petula Clark, c'est au tour de DiRT 5 de célébrer la gadoue. La gadoue qui éclabousse, qui salit, qui aveugle. La gadoue dans laquelle pataugent des monstres hurlants aux couleurs acides... ainsi que les jeux sortis manifestement trop tôt. Bienvenue dans le monde très arcade de DiRT 5, le jeu de rallye décomplexé et précipité de Codemasters.
Élever le hacking au rang d'art, c'est un peu le leitmotiv de la série Watch Dogs depuis maintenant six ans. Après un premier volet fondateur plutôt sombre et sérieux, et un second nettement plus bac-à-sable et feel good, avec ce troisième opus il apparaissait évident qu'Ubisoft devait enfin choisir la voie sur laquelle cette licence pourrait exprimer tout son potentiel. Pas de suspense inutile : Watch Dogs : Legion coche toutes les cases de l'évolution réussie.