Après l'excellent Age of Empires Online, le studio Robot entertainement nous revient avec un jeu en téléchargement : Orcs Must Die!. Que pouvons-nous attendre de cette énième jeu dématérialisé ? La réponse est verte, à mauvaise haleine, mange des enfants au petit déjeuner et adore porter des pagnes !
Le jeu musical à l'ancienne : celui où il convient simplement d'appuyer en rythme sur des boutons afin de reproduire un schéma et d'avancer dans le morceau. Celui-là même où vous n'aviez pas besoin de périphérique coûtant le prix d'un rein pour s'amuser. Ayant fait les beaux jours de la Dame Blanche de SEGA avant d'être adapté sur PS2 en 2003, Space Channel 5 : Part 2 revient vous faire bouger via les plateformes de téléchargement sur consoles HD et PC. Portage dans les "Chu" ou de qualité ? Entrez dans la danse, la musique commence...
Avec des titres aussi emblématiques que Rez ou Lumines, Tetsuya Mizuguchi s'est fait une place parmi les créateurs vidéoludiques de renom. Ainsi, même si à l'image du cinéma expérimental ces jeux ne se destinent qu'à une certaine frange de passionnés, chacun de ses nouveaux projets est susceptible de susciter l'intérêt. Avec Child of Eden, un shoot'em up se jouant en vue subjective, le créateur japonais se tourne du côté d'Ubisoft et nous propose une fois de plus une expérience singulière. Pourquoi cela ? Jugez plutôt.
Alors que la terre se tourne vers l'hémisphère sud pour applaudir les exploits de la Coupe du Monde de Rugby, c'est un autre ballon qui vient se présenter à nous dans ses célèbres simulations. Une nouvelle saison ayant commencé, l'habituel duel FIFA et PES recommence de plus bel cet automne. Commençons avec Pro Evolution Soccer et ses améliorations 2012 qui pourraient bien permettre à Konami de rattraper son retard.
Dès les premiers screenshots, il était difficile de ne pas voir en Rotastic un énième jeu pour téléphone portable. Pourtant, c'est bien sur Xbox Live Arcade et PlayStation Network que le jeu est disponible. Un choix compréhensible quand on sait que ce type de titres peut être vendu plein pot sur les plateformes de Microsoft et Sony. Est-ce une raison suffisante pour bouder ce jeu parisien ? Quand même pas.
Vous aimez la guerre ? Les factions qui se déchirent, les immeubles qui explosent, les fusils à canon scié ? Bodycount est dans cette lignée, un jeu d'action en vus subjective qui tache et qui tache bien. Pas de scénario, pas de mise en scène, rien que de l'action : pour un peu, on se croirait dans un de ces films d'action décérébrés où seules les explosions comptent. Ce qui pourrait suffire, si Bodycount avait ce petit quelque chose qui démarque les productions moyennes des jeux accrocheurs. Ce n'est malheureusement pas le cas.