Tests

Assassin's Creed : The Ezio Collection

La Renaissance d'Ezio sur Switch

Plus de dix ans après la sortie de la trilogie originale, Assassin's Creed : The Ezio Collection propose sur Switch trois des meilleurs titres de la saga — et c'est même Ubisoft qui le dit sur la boîte. Alors que la série poursuit son chemin sur les supports next gen, ce retour dans le passé vaut-il le déplacement jusqu'à la Renaissance italienne du XVe siècle ? Replongeons dans cet univers aussi riche qu'impressionnant que représente la vie d'Ezio Auditore da Firenze, aka le Batman de la Renaissance.

Tunic

L'hommage à Zelda

Vous avez sûrement oublié mais le tout premier The Legend of Zelda de 1986 était une purge. Vous mourriez en boucle, les ennemis dévoraient vos trois cœurs de départ comme un affamé son McDo, et vous pouviez même rater la première arme du jeu en ne prenant pas le bon chemin. 35 ans après, Tunic fait pareil.

Final Fantasy VI Pixel Remaster

Le plus grand tube des années 90

La légende des RPG revient dans une version plus ou moins dépoussiérée : graphismes (presque) à l'identique, bande-son réorchestrée. Le résultat ? Un chef-d'œuvre de narration qui n'a pas peur de ses rides pixélisées.

Dying Light 2 : Stay Human

From dusk till dawn

Du parkour, des zombies et du parapente : si vous avez pris du bide avec les confinements, Dying Light 2 va vous en faire perdre vitesse grand V. Et si vous étiez resté enfermé, ce jeu d'action RPG va vous faire récupérer un max d'UV.

Lacuna

Une enquête cyberpunk aux confins de l'espace

À mi-chemin entre l'enquête policière et le point & click, puisant dans les codes de Blade Runner, Fondations ou encore les vieux polars de gare, Lacuna vous emmène dans une autre galaxie, là où les enjeux économiques d'exploitation minière font monter la tension entre les mondes habités. Du déjà-vu ? Plongeons dans cette atmosphère cyberpunk teintée de rétrofuturisme pour voir ce que Lacuna a de beau à nous offrir.

Sifu

Coup de vieux

Vous aimez la bagarre ? Vous allez aimer Sifu, un jeu de combat et de vengeance. Enfin vous allez aimer... seulement si vous êtes du genre à persévérer. À recommencer les mêmes combats vingt, trente, cent fois.

Tribune libre