Le film est à peine sorti en salle que le jeu est déjà disponible sur un peu toutes les plates-formes du moment. Même si la méfiance est traditionnellement de mise devant ces opérations marketing rondement menées, il faut bien reconnaître qu'après quelques minutes le scepticisme s'efface presque totalement devant le plaisir de jeu. C'est à peine croyable, Spider-Man le jeu respecte très bien l'esprit du comic américain, au moins autant que Spider-Man le film. Du coup on a vraiment l'impression de se glisser dans la peau de Peter Parker, au point qu'on finit par regarder le plafond de sa chambre avec un poil d'envie.
Après une Amerzone tropicale et étrange, Benoît Sokal, célèbre dessinateur de bande-dessinées, s'est tourné avec Syberia vers les non moins étranges mais beaucoup moins tropicales, voire carrément fraiches par endroits, contrées de l'Europe de l'Est. L'on y suivra donc le périple d'une jeune avocate américaine à la solde du grand capital américain, une Ally McSteppes envoyée pour dévoyer un mystérieux et génial créateur d'automates. L'histoire est-elle si bien ? Les graphismes sont-ils aussi somptueux que ce qui se murmure ? Les automates rêvent-ils de mammouths à ressort ? La réponse à (presque) toutes ces questions se trouve dans le test...
Une sombre menace plane sur notre belle planète, sous la forme d'une substance mutagène envoyée par une race malveillante pour corrompre le coeur des hommes. Sur quelles épaules puissamment bâties va donc reposer le destin de l'humanité ? Qui va organiser la résistance, quels seront les chevaliers des temps modernes qui auront la ressource de combattre les plans machiavéliques d'une bande d'extraterrestres dégénérés ? Ces valeureux héros existent et se sont rassemblés sous une bannière, celle de la liberté. N'ayez plus peur et suivez le lien, car la Freedom Force est là !
John Mullins est de retour pour le meilleur et pour le pire. Le meilleur, c'est la licence Soldier of Fortune, cette revue pour mercenaires qui existe vraiment là-bas, de l'autre côté de l'Atlantique. Une licence bien juteuse qui excuse la débauche de tripes du jeu, le gros sang qui gicle et qui tache. Reste le pire, dont on serait tenté de dire que c'est le reste, vu qu'à part la bidoche et malgré quelques bonnes intentions, Soldier of Fortune 2 ne propose pas grand-chose de tripant.
GTA 3 ne fait pas dans la dentelle, pas plus que ses prédécesseurs. Il est toujours question d'incarner un truand qui gagne de l'argent en volant des caisses, en assassinant des rivaux et en protégeant les pontes de la pègre. Oui, on a vu mieux comme CV de héros. Ici, pas question de défendre la veuve et l'orphelin, on protège plutôt la pute et le maquereau. Les traditions se perdent. M'enfin, c'est ce qui fait l'intérêt de GTA 3. Tout le gameplay repose sur cette affreuse tentation : le jeu s'installe dans une ville contemporaine très crédible dans laquelle il est possible de faire tout et n'importe quoi, de préférence n'importe quoi.
Annoncé comme le "tueur de Diablo", autant dans son gameplay que dans ses graphismes, le nouveau jeu de Chris Taylor (le créateur de Total Annihilation) avait tout l'air d'être ce qu'on en annonçait. L'est-il ? L'est-il pas ? Plus de détails après le lien...