Slideshow vaguement interactif pour les uns, dinosaure d'un genre (le jeu d'aventure, section énigmes) qui disparaît peu à peu pour d'autres, la série des Myst s'est pourtant vendue à près de 10 millions d'exemplaire de part le monde depuis près de 10 ans. Suite d'un Exile décevant, Uru tente d'innover sur quelques points et ainsi de relancer la machine D'ni.
Pas étonnant que le multi soit en retard si les développeurs font du tourisme
Uru, genèse d’un lancement chaotique
Ind'ni et la dernière croisade
Ca c'est un chef, ça bouquine à l'ombre et vous envoie faire les corvées...
Beau comme une image fixe
Qui a dit qu'Uru ne savait pas être majestueux ?
Mais maniable comme une baignoire
En vue de dos, la caméra se place parfois dans un angle plutôt réduit
Diverses autres contrariétés
Un voyage, également point de sauvegarde fixe
- Les graphismes et le travail visuel sur les mondes
- Les 4 Ages accessibles librement
- L'ergonomie dans les déplacements
- La sauvegarde automatique et uniquement automatique
Devant l'impossibilité de tester le mode multijoueur, il est plus que compliqué de déterminer si Uru : Ages Beyond Myst atteint ses objectifs et tient ses promesses. Le jeu solo se révèle finalement fort court et les plus assidus (ou ceux à qui Riven avait donné de nombreux maux de tête) le finiront en moins d'une semaine pour autant que l'ergonomie délicate du jeu ne les décourage pas plus tôt. Les autres retrouveront des énigmes globalement plus simples (quoique pas toujours d'une logique à toutes épreuves), variées et un monde enchanteur auquel il faudra accorder beaucoup de temps pour l'exploration et la lecture pour une immersion vraiment réussie.