- Éditeur Electronic Arts
- Sortie initiale Nov. 2003
- Genres Arcade, Simulation
Lorsqu'on parle de courses d'arcade en milieu urbain, au volant de véhicules rutilants et souvent hors de prix, on pense souvent à Need for Speed. La série s'étant déclinée en de multiples variantes tout en perdant un peu de ses qualités, il était inutile de préciser que ce nouvel épisode avait une sacré pression sur les épaules.
Un saut vu de l'extérieur...Prions pour qu'il n'y ait rien devant nous à l'atterrissage
Fast and Furious
Une ville, 6 types, 111 possibilités
Un drift tout en glisse
Midtown Madness
Chinatown dans toute sa splendeur
Claque visuelle
Devinez quels sont les bolides en course et qui appartient à la circulation...
L’enfer, c’est les autres
Oups !
- La sensation de vitesse, excellente sur la majorité des circuits
- La facilité de prise en main, y compris au clavier
- Le manque de diversité du décors
- Le côté simulateur de chance des courses dans le traffic
- Les bagnoles incassables dans pratiquement tous les modes de jeu
- La victoire obligatoire en mode Underground
Au rayon des petits regrets, il convient encore de classer l'absence des forces de l'ordre dont la présence, à la manière d'un Need for Speed: Hot Pursuit, aurait ajouté du piment aux épreuves. De même, on regrettera que le mode underground ne permette pas la défaite, rendant ainsi l'évolution dans les classements assez artificielle puisque prévisible. Vous l'aurez compris, malgré ces petits défauts, ce nouvel épisode de la série contribuera sans nul doute à faire remonter l'estime du public pour le jeu, bien aidé par un mode multijoueur dont les classements mondiaux devraient désigner le seul roi du monde.