Fin 1998, les joueurs japonais découvrent sous le sapin Mario Party, épisode mythique d'un genre désormais bien répandu : le party game. Développée par Hudson, la série a fait des émules, aussi bien chez Nintendo avec huit épisodes sortis de la N64 à la Wii que chez SEGA avec Sonic Shuffle sur Dreamcast. A l'heure où le regretté Hudson met la clé sous la porte, Mario et sa clique débarquent dans un neuvième jeu développé par Nd Cube, compagnie regroupant la plupart des employés d'Hudson ayant bossé sur les Mario Party. Mario Party 9 ou le renouveau de la licence ?
Dans l'histoire de la saga phare de Square-Enix, seulement deux titres ont eu une suite directe. Après de vives critiques de la part des joueurs du monde entier, le développeur japonais décide d'offrir un deuxième volet à Final Fantasy XIII pour rectifier le tir. Et c'est un coup gagnant qui l'attend avec Final Fantasy XIII-2. Square-Enix a réussi à toucher le cœur de la cible.
Histoire de préparer la sortie de Mass Effect 3 et, au passage, de surfer sur l'effet Skyrim, EA nous sort en grande pompe une nouvelle licence de jeu de rôle. Avec son nom à rallonge, Kingdoms of Alamur : Reckoning se donne les moyens de jouer dans la cour des grands avec des noms connus des experts du genre et pas moins de deux studios pour son développement. Les dés en sont-il jetés pour autant ?
La vie de testeur de jeu vidéo se résume à manger des produits de toute sorte : bons, mauvais, hollywoodiens, cheapos, etc. Mais que ce passe t-il lorsqu'on se retrouve face à un jeu inclassable ? Dear Esther est un cas d'école.
La course à la victoire dans les jeux de simulation de combat n'a cessé de pousser les deux licences principales, UFC Undisputed de THQ, et EA Sports MMA, dans une direction ne pouvant que plaire au joueur. En proposant toujours plus de contenu, plus de réalisme, ce UFC Undisputed 3 se révèle généreux à plus d'un titre, sans pour autant être parfait. Il faut savoir se laisser quand même une petite marge de progression.