Troisième volet de la série Gorky Zero, des jeux d'infiltration bridés à l'envergure très limitée, Aurora Watching va tenter une nouvelle fois de séduire les adeptes d'un genre où des Hitman, des Metal Gear Solid et, surtout, des Splinter Cell ne laissent pas beaucoup de place à l'approximation. Voyons donc avec cette preview si Aurora Watching a les moyens de ses ambitions.
L'enfer est décidément très à la mode pour le moment, entre un Doom 3 jouant sur l'ambiance et un Painkiller misant sur l'action, on se demande ce que pourra faire Hellforces, un FPS d'origine russe avec de vrais morceaux de mort-vivants. Avec ce jeu simple à prendre en main et sans prise de tête misant tout sur l'action plutôt que sur la subtilité, Orion nous offre une virée en enfer.
Une équipe norvégienne, 5 ans de développement, une production aux airs de cinéma et un éditeur français. Drôle de recette pour la suite de The Longest Journey. Une preview pour ouvrir les yeux et tenter d'en savoir plus.
Chrome: SpecForce, c'est un FPS futuriste comme il y en a tant d'autres là dehors sur le marché, d'autant plus qu'il est la suite directe de Chrome, un FPS sympathique qui n'avait néanmoins pas particulièrement percé. Nous avons pu essayer une version de preview du jeu, qui nous a fait voir la vie en orange : normal, avec une interface toute orange.
Le genre FPS, après avoir décliné le shoot en long, en large et en travers, s'oriente de plus en plus vers des profondeurs qu'on ne lui soupçonnait pas. En leur temps, Deus Ex et plus encore System Shock (pour les plus vieux) avaient ouvert la voie. Des titres comme le très attendu S.T.A.L.K.E.R. vont tenter d'approfondir cette orientation plus cérébrale en mélangeant allégrement le genre avec le RPG et l'aventure. La dernière production de Deep Shadows, Boiling Point: Road to Hell fait partie de cette nouvelle vague. Découvrons ensemble les premières heures de ce qui s'annonce comme une expédition tropicale de premier choix.
Présenté dans les luxueux locaux d'un palace parisien, Medal of Honor: European Assault – sous-titré "Les Faucons de Guerre" en France – nous a réservé bien des surprises. Bonnes d'un côté, avec une volonté de casser la linéarité de l'action, omniprésente dans la série ou encore la possibilité de commander des escouades complètes, mais aussi moins bonnes, si on considère l'absence de mode online ou la réalisation technique faisant un peu tache. Un jeu de guerre en pleine bataille avec lui-même en quelque sorte.