Tests

Resident Evil : Revelations 2

Fascination, tentation, hésitation et surtout coopération

Le monde du jeu vidéo est parfois fait de paradoxes. Ainsi, tandis que le premier Resident Evil : Revelations a d'abord été développé pour la 3DS, sa suite se paye une sortie exclusive aux consoles de salon. Et notamment sur One et PS4, deux plateformes qui n'ont pas connu le premier volet.

Farming Simulator 15

L'Amour est dans le travail

Bien qu'il ne soit pas aussi connu que les blockbusters habituels, Farming Simulator s'est forgé une sacrée réputation sur PC, au point d'avoir été la meilleure vente en France en 2011, et de s'être écoulé à plus d'un million d'exemplaires en 2013. Autant dire que le titre édité par Focus (et développé par des Suisses) n'a pas à rougir. Six mois après sa sortie PC, Farming Simulator 15 arrive enfin sur consoles, et pour la première fois sur One et PS4.

DmC Devil May Cry : Definitive Edition

Dante revient de l'enfer

Réediter des jeux 360/PS3 est une solution facile pour étoffer la collection des jeux sur PS4/One. La source étant loin d'être tarie, c'est au tour de Capcom de proposer son dernier titre : DmC Devil May Cry : Definite Edition. Et jouer au remake next gen du reboot daté de fin 2013 de la série DMC peut vite donner l'impression de traverser l'enfer.

Assassin's Creed Chronicles : China

Le réveil d'une licence

La poule aux œufs d'or d'Ubisoft tient décidément une place de choix dans le catalogue de l'éditeur. Avant le film, et après des suites dont les sorties sont réglées au métronome, voici venir Assassin's Creed Chronicles : China, itération inédite en 2.5D qui, ô surprise, parvient à renouveler une licence qu'on supposait ronronnante.

Wolfenstein : The Old Blood

La führer de vivre

Succès inattendu, Wolfenstein : The New Order prenait le parti risqué de transposer la célèbre franchise de FPS dans une uchronie où le Troisième Reich était sorti vainqueur de la Seconde Guerre mondiale. The Old Blood, son extension stand-alone, revient vers un schéma plus classique : le Château Wolfenstein, son charme atypique et bien sûr ses hordes de soldats nazi à tuer.

Tribune libre