Bang Bang 🎵 My baby shot me down 🎵
Après une face A(lpha)exceptionnelle, vous étiez tout excité et empressé de découvrir la face B(ravo). Accrochez-vous, vous ne serez pas déçu. Là où la première compilation jouait la carte de l'international (conflits militaires occidentalisés et fantasy), celle-ci beaucoup plus intime vous réserve une belle surprise.
Une force encore méconnue !
Le succès et l'aura de Persona 5 conjugués à la détermination de Nintendo à rééditer l'ensemble de son catalogue Wii U permettent à Tokyo Mirage Sessions #FE Encore de revenir sous les meilleurs auspices, puisqu'il nous arrive intégralement traduit. Comme vous allez le voir, ce n'est même pas la plus belle des nouveautés, puisque cette version « Encore » va régaler les fans et convertir les profanes au travail d'Atlus.
À la rédaction de Gamatomic, nous étions curieux d'apprendre que Stories Untold allait être porté sur Switch. Le chantre de l'aventure textuelle, discipline exclusive à l'ordinateur, se retrouve sur une console portable... divine hérésie. Dans le plaisir ou la douleur, il nous tardait d'embarquer dans cette aventure. > Play Game
Bang Bang 🎵 Je ne l'oublierai pas 🎵
En ce début d'année, nous autres, fans de shoot, sommes au paradis : Psikyo s'apprête à sortir deux compilations bénies des dieux. Autant dire que pour nous la Switch est d'ores et déjà la plus grande console de tous les temps, et que l'année vidéoludique pourrait s'arrêter sur ces deux compilations qu'on ne demanderait rien d'autre. En attendant la version Bravo, astiquons-nous sur cette version Alpha.
La naissance d'une talentueuse équipe
C'est toujours émouvant de découvrir le tout premier jeu d'une nouvelle équipe. Celle de Piccolo Studio, basée à Barcelone, l'avoue d'emblée sur son site officiel : "Nous n'avons pas beaucoup d'expérience mais nous souhaitons partager notre vision romantique du jeu vidéo non pas en développant des jeux, mais en les fabriquant." Cette approche artisanale qui pourrait refroidir cache pourtant une pépite qui n'a rien à envier aux très médiatisés Journey et flOw. Son nom : Arise : A Simple Story.
Au milieu de la pléthore de jeux indé qui utilisent une direction artistique poétique et épurée pour camoufler un budget serré, Lost Ember semble se poser un peu là. Et il faut bien avouer que les premiers quarts d'heure de jeu ne poussent pas vraiment à revoir cet a priori. Mais s'il y a bien un seul intérêt aux a priori, c'est de nous permettre de nous exercer à les dépasser. Ainsi, la première production du studio allemand Mooneye se laisse apprivoiser lentement mais sûrement, à l'image de l'animal sauvage que vous y incarnez.