Le temps comme plus grand ennemi
Après deux épisodes surprenants mais avec des qualités certaines, Square Enix met un terme à la trilogie XIII avec Lightning Returns. Quelles surprises vous réservent les créateurs de cette trilogie mal aimée et à la fois adulée par tant de joueurs. La réponse dans 13 jours à moins que le temps ne joue contre vous !
Il y a parfois des moments dans l'année, où l'industrie du jeu vidéo nous fait baver devant les prochains hits qui nous occuperons des heures durant. En cette période de disette vidéoludique, certains s'illustrent heureusement par la qualité et l'originalité de leurs productions. C'est le cas de RageQuit Corporation, un studio indépendant français, dont le titre s'évertue à mêler shoot aérien et FPS brutal. A vos clavier !
Une dernière chance orientée multi
Drôle de parcours que celui des adaptations de Dragon Ball Z. Après des jeux PlayStation 2 ayant été salués par les fans, Bandai Namco a peiné à poursuivre sur sa lancée, au point que le épisodes 360 et PS3 sont passés plus ou moins inaperçus. Profitant de la sortie d'un film d'animation dans les salles japonaises en 2013, l'éditeur japonais tente une dernière fois de convaincre les joueurs sur cette génération.
La sortie européenne de Inazuma Eleven 3 : Les Ogres Attaquent ! prouve une chose : Nintendo mise sur cette série comme sur [b]Pokémon[:b]. En effet, cette épisode n'est autre qu'une version annexe du troisième épisode sorti il y a quelques mois. Le résultat est-il à la hauteur de la campagne marketing accompagnant cette licence désormais connue ?
Et si vous preniez votre pied ?
Twisted Pixel. Si ce nom ne vous dit rien, il s'agit pourtant d'un petit studio appréciant surprendre son monde, puisqu'à l'origine de jeux tels que 'Splosion Man ou The Gunstringer (un des rares titres Kinect convaincant). LocoCycle est dans la veine des productions du studio, avec un gameplay certes perfectible mais une ambiance et des partis pris si déjantés qu'il convient de saluer l'ensemble.
Dans le monde du jeu dématérialisé où les grosses productions se confondent avec des jeux dits indépendants, Tearaway tente de sortir son épingle du jeu. Une ambition légitime au regard de son concept, mais qui risque d'être noyée dans la pléthore de jeux à petit budget sortant chaque mois... C'était sans compter sur son support au catalogue encore rachitique : la PlayStation Vita.