Malgré la controverse de l'épisode précédent, la série Assassin's Creed revient tel un métronome juste avant les fêtes. Syndicate, c'est le nom de la cuvée 2015, débarque sur nos machines avec l'intention de faire mieux qu'Assassin's Creed Unity. Il s'agit surtout de proposer un jeu au développement achevé. Verdict ?
Si Halo 4 faisait office de premier essai pour 343 Industries, Halo 5 : Guardians ne profite pas des mêmes facteurs poussant à être conciliant. Deuxième volet du studio et premier Halo à voir le jour sur Xbox One, qui plus est dans un contexte un brin morose pour la console de Microsoft... Le Master Chief et ses compagnons seront-ils, une fois de plus, le sauveur de la console américaine ?
L'ado pénible qui s'améliore
Le titre du studio parisien Dontnod s'avère plutôt séducteur sur le papier : un gameplay accessible sur la base d'exploration / dialogues / interactions, une héroïne qui se découvre le pouvoir de remonter le temps de quelques minutes, un environnement en Oregon à l'ambiance si particulière, le tout découpé en épisodes à l'écriture scénaristique allant crescendo. Après un début un peu difficile, Life is Strange s'apprivoise dans la durée et c'est tant mieux.
Le parfait plan à trois de Nintendo
Episode axé sur le mulltijoueur, The Legend of Zelda : Tri Force Heroes a pour objectif de lancer la 3DS de Nintendo pour cette fin d'année 2015. Un période qui s'annonce légèrement plus tranquille que d'habitude, mais qui devrait visiblement être à la hauteur sur le plan qualitatif.
Un épisode qui donne le rythme
FIFA 16 avait pour mission de redresser la barre après un FIFA 15 plutôt morose. Et ça commençait plutôt bien, puisque Electronic Arts avait notamment annoncé l'arrivée de quelques sélections féminines comme bonus de luxe. Mais qu'en est-il du reste ?
Deux ans après avoir réinventé la légende, Crystal Dynamics offre à Lara Croft son aventure fondatrice, celle qui va ensuite la conforter à dilapider la fortune familiale dans des expéditions hors de prix. Tant mieux pour nous, car plus elle dépense, plus on s'amuse. Et le moins que l'on puisse dire avec Rise of the Tomb Raider, c'est qu'elle a dépensé sans compter.