Depuis son annonce, Thief a plus suscité la crainte que l'enthousiasme. À vrai dire, par son existence, le titre est symbolique de l'époque pour deux raisons. Premièrement, il représente l'occidentalisation récente du catalogue de Square-Enix. Ensuite, il symbolise la "casualisation" régissant le secteur depuis des années. Tel le roi de voleur, Thief arrivera t-il à retomber sur ses pieds ?
Ça dézingue la concurrence
Maman Free-to-play a accouché d'un nouveau jeu du petit nom de Loadout. Maman Free-to-play a un sacré cycle puisqu'elle parvient à pondre beaucoup de gosses chaque année. Certains sont des enfants plein d'avenir et d'autres sont des canards boiteux qui tentent tant bien que mal de tromper leur monde, mais nous ne sommes pas dupes. Alors le dernier né, Loadout, fait partie de quelle catégorie ? La visite médicale va vous éclairer.
De nombreux damnés erraient sans but depuis quelques temps, attendant l'arrivée du successeur du très bon Dark Souls. Après s'être montré à la presse en plusieurs occasions, ce second opus arrive enfin sur console. Malgré la jeunesse de la licence, les expectations sont fortes, alors Dark Souls II respecte-t-il les traditions instaurées par ses aînés ?
L'infiltration presque next-gen
Annoncé comme un prologue payant à Metal Gear Solid V : The Phantom Pain, Ground Zeroes a, par son existence, suscité débat. Car s'il y a une chose assez caractéristique et énervante chez Hideo Kojima, c'est sa propension à jouer de son statut de "petit génie du jeu vidéo" afin de se mettre les fans dans la poche. Bien que la prétention du bonhomme puisse agacer, il faut reconnaître que le résultat est à la hauteur. En général.
Pas facile de motiver les foules pour un énième FPS indépendant. Heureusement, Betrayer mâche le travail car il s'agit du bébé de Craig Hubbard, le lead designer de No One Lives Forever, S.H.O.G.O et F.E.A.R.. Alors à moins d'être allergique aux acronymes débiles, vous savez que ça va dépoter. Et vous avez bien raison.
De l'art de boucler la boucle
Bioshock Infinite : Burial at Sea – Episode 2 tente de respecter un cahier des charges bien rempli. Satisfaire les joueurs déçus du premier DLC, fournir une expérience mémorable, conclure Bioshock Infinite d'une main de maître et faire la jonction avec BioShock premier du nom sont des tâches en faisant partie intégrante. Et force est de constater que tout est réalisé, non sans un certain panache.