Tests

Styx : Master of Shadows

Le seul gobelin plus grand que ses concurrents

Ah les jeux d'infiltrations. Le joueur commence, le pad en main, il est méticuleux, il recommence plusieurs fois pour réaliser une session parfaite sans qu'aucun garde ne l'ait vu. Et puis il perd patience, déglingue tout le monde, fout un bordel monstre et finit le jeu rapidement. Voilà, ça c'était avant et ce n'était pas de l'infiltration. Laissez-nous vous présenter Styx : Master of Shadows.

Wastleland 2

Vous reprendrez bien un peu de désert ?

L'avantage des jeux kickstartés est que les introductions s'écrivent toutes seules. Il suffit de sortir le nom du jeu (Wasteland 2), de dire qu'il s'agit d'un RPG copiant les vieilles formules des premiers Fallout et qu'il a levé plus de deux millions de dollars. Puis, le paragraphe se termine par une superbe formule telle que : "crowdfunding, révolution ou arnaque ?". Quoi, vous voulez un vrai test ?

FIFA 15

Fidèle mais pas courageux

Le championnat a déjà repris depuis le mois d'août. Alors que le PSG et l'OM bataillent pour la première place, avec les girondins comme arbitre, il est grand temps pour vous de rechausser vos manettes pour la nouvelle bataille FIFA / PES, qui tient en haleine les sportifs sur console. Cette année, FIFA a la chance de pouvoir ouvrir le bal, mais EA saura-t-il en profiter ?

Abyss Odyssey

Quand nécromancie et chronophagie vont de paire

Abyss Odyssey, dernier né du studio ACE Team papa de Zeno Clash entre autre, joue dans la cour ô combien estimée du rogue-like. Forcément, les développeurs opèrent avec un style bien à eux. Pour en savoir plus, descendez les étages de ce test.

Might & Magic : Duel of Champions

Le fric, c'est pas si chic

Avec Might & Magic : Duel of Champions, on peut dire qu'Ubisoft ne manque pas d'air. Probablement attiré par le succès des différentes adaptations de Magic L'Assemblée, l'éditeur sort son propre jeu de cartes. Déjà sorti en free-to-play (terme comme toujours bien relatif) sur PC, Duel of Champions arrive sur consoles pour une petite dizaine d'euros. Mais à force d'être gourmand, on finit par devenir... malade.

Tribune libre