Tests

50 Cent va faire couler du sang

50 Cent et son gang du G-Unit prennent le branle-bas de combat pour leur seconde escapade dans un jeu d'action sur-vitaminé aux allures de superproductions hollywoodiennes. Pour sa seconde pérégrination, après un 50 Cent : Bulletproof plus que moyen, Fifty s'offre le Moyen-Oient comme théâtre d'un spectacle sanglant comme le titre Blood of the Sand le laisse présager. Aussi bon sur scène que sur le champ de bataille ? A Fifty de vous le prouver dans ce test !

F.E.A.R. 2 bascule dans l'horreur

Action, horreur et bullet time, c'est le cocktail détonnant de F.E.A.R. 2 : Project Origin, la suite d'un excellent jeu de tir en vue subjective. Les développeurs ont gardé l'ambiance glauque, les hallucinations, les clins d'œil aux films d'épouvante japonais, tout en cherchant à gommer les défauts du premier épisode. Vous vous perdiez tout le temps dans le premier F.E.A.R. ? Ce n'est plus possible dans sa suite. Vous trouviez le jeu trop dur ? Celui-là vous paraîtra beaucoup plus facile. Vous ne compreniez rien à l'histoire ? Ici, les pouvoirs paranormaux sont expliqués très tôt dans l'aventure. Que du bon à priori sauf qu'à force de simplifier, les développeurs ont peut-être perdu ce qui faisait le charme de F.E.A.R..

Street Fighter 4 ravive la flamme

Rappelez-vous. C'était au début des années 90 et vous aviez encore vos barbelés sur les dents. Vous les dévoiliez dans un large sourire dès que vous approchiez de la borne d'arcade Street Fighter 2 du troquet du coin. "Oui maman, promis, seulement deux ou trois parties !". C'était juste après la fin des cours, avant de rentrer faire vos devoirs. Aujourd'hui, après toutes ces années, vous avez les dents bien droites, mais pourtant, c'est exactement le même sourire d'enfant qui se dessine sur vos lèvres lorsque vous pressez le bouton power de votre console. Le DVD de Street Fighter 4 se met à tourner dans le lecteur. L'attente a été longue, mais le maître est de retour...

A la croisée des genres avec Battle Fantasia

Arc Systems Works, un nom qui n'est sûrement pas inconnu des joueurs acharnés de VS Fighting. Ces développeurs sont en effet derrière la licence Guilty Gear, une licence excellente qui demande cependant un investissement assez important de la part du joueur. Sorti en arcade au Japon l'an passé, Battle Fantasia propose une maniabilité beaucoup plus abordable pour le commun des mortels. Simplifier la maniabilité afin de toucher un public plus large, voilà qui rappelle un peu la politique de Capcom quant à leur dernier bébé. Le résultat final est-il aussi concluant que pour Street Fighter IV ? La réponse sans plus tarder.

Un peu de nostalgie avec Sega Mega Drive Ultimate Collection

Avant de n'être réduit qu'à un simple développeur/éditeur de jeux vidéo, Sega a été l'un des plus grands fabricants de consoles, jusqu'à atteindre 65 % de parts de marché en 1993. Bien avant la PlayStation de Sony et la Xbox de Microsoft, des millions de joueurs ont connu leur première expérience ludique avec la Mega Drive, première console 16 bits de l'histoire. Bien sûr, ces mêmes joueurs ne jurent maintenant que par la somptueuse plastique d'un Crysis ou d'un Far Cry 2. Pourtant, il reste assurément dans leur cœur une petite place pour des titres comme Streets of rage ou Sonic. C'est pourquoi Sega propose aujourd'hui sa Mega Drive Ultimate Collection, avec la volonté de montrer que le retro-gaming peut avoir une place face aux jeux next-gen.

Killzone 2 : l'autre Gears of War 2

Non, il n'y a pas que Gears of War 2 dans la vie. Dans la famille des jeux d'action qui tachent, Killzone 2 se pose là. Gros flingues, gros muscles, action non stop, environnement variés, ambiance du tonnerre et gros mots à faire rougir un camionneur, Killzone 2 donne clairement le ton – le même que celui de son concurrent chez Microsoft. La bonne nouvelle, c'est qu'il tient toutes ses promesses, comme son concurrent direct : Killzone 2 est un "putain de bon jeu", le genre de jeu qui vous scotche à la manette et vous empêche de décrocher. Ce n'est pas seulement une question de réalisation technique, de maniabilité. C'est surtout une leçon de savoir-faire, avec des principes simples et éprouvés mais qui marchent du feu de Dieu. Comme quoi, ce n'est pas la peine de faire du neuf pour faire du hit.

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