Après le plébiscite de Dragon Age : Origins, auréolé du titre de meilleur jeu de l'année 2009, Electronic Arts et BioWare ne pouvaient s'abstenir de rééditer l'exploit avec Dragon Age 2 : Rise to power. Classé directement interdit au moins de 18 ans, le titre pouvait faire rêver les amateurs : trucider de l'engeance à grands coups d'épée à deux mains et démolir du dragon par avalanche de boules de feu. Oui, mais voilà, vitesse et précipitation sont les ennemis du développeur de jeu vidéo.
Avant tout connue pour son penchant pour la simulation, la saga Top Spin a toujours eu de quoi effrayer les novices. Avec Top Spin 4, les petits gars de 2K Czech (anciennement PAM Development) sont bien décidés à révolutionner la série en la rendant plus accessible. Un pari périlleux mais qui risque bien d'assommer la concurrence. Explications.
Après s'être fait la main sur Iphone avec les deux Modern Combat puis sur Ipad et leurs portages HD, Gameloft tente enfin le coup sur les consoles de salon actuelles. Vendu huit euros sur le Playstation Network, Modern Combat : Domination propose l'expérience FPS à moindre coût. Reste à voir si la formule peut fonctionner tant le marché des Doom-like s'avère saturé.
Les créateurs de Painkiller récidivent en ne cachant pas leur amour pour le frag pur et dur qui logiquement devient la quintessence de Bulletstorm. Se moquant ouvertement au sein du jeu ainsi que dans leur campagne marketing des FPS se prenant trop au sérieux, ils nous emmènent à contre-courant de ce qui se fait actuellement dans le genre. C'est une voie intéressante qu'ils empruntent et cela fonctionne même si, au final, il flotte comme une impression de "trop peu".
Killzone 3 a su faire parler de lui par le biais de bandes-annonces aux graphismes époustouflants et de démos solo et multijoueur alléchantes. On pouvait donc s'attendre à un jeu mené tambour battant, sans répit, violent, poignant et grand. Mais ce que nous avait montré le studio Guerilla n'était que le bon côté de la médaille. Le revers, beaucoup moins reluisant, reflète une campagne linéaire, courte et avec des personnages creux et stéréotypés à souhait. Seul le mode en ligne se démarque par son évolution depuis la version bêta et sait nous faire plaisir. Une déception d'un côté, une admiration de l'autre. De quoi trouver un juste milieu ? A vous de voir…
Après un Fight Night Round 4 qui est parvenu à se hisser au sommet du jeu de boxe en 2009, voici arrivé son successeur, le bien nommé Fight Night Champion. Bénéficiant de deux années de développement, ce nouveau volet se voulait être une sorte de renouveau pour la franchise d'Electronic Arts. Qu'en est-il réellement ? Réponse dans ces quelques lignes.