Pour beaucoup, Driver est synonyme de fun et de technique. Archétype même du jeu de course qui mêle conduite pure et dure avec plaisir et amusement, le premier épisode sur PlayStation avait laissé une marque au fer rouge. Après quelques suites laborieuses, la série fut abandonnée. Du moins, c'est ce que l'on croyait avant qu'Ubisoft ne décide de la faire renaître de ses cendres avec Driver : San Francisco. Nous revoilà ainsi dans la peau de John Tanner, le flic le plus acharné qui existe et surtout as du volant. Avec l'équipe de Reflections, Ubisoft nous livre une expérience enivrante et riche en nouveautés.
Annoncé il y a plus d'un an, El Shaddai : Ascension of the Metatron est un titre qui intrigue. Cachet visuel certain, thématique religieuse et sexuelle, gameplay minimaliste... voilà le drôle de programme proposé par Konami et Sawaki Takeyasu. Et si l'expérience ne plaira pas à tout le monde, elle a le mérite d'être singulière et cohérente, au point de donner l'impression de se retrouver devant une œuvre avec un grand "O", comme onirisme.
Ce qui est magique avec les plates-formes de téléchargement, c'est qu'il n'est pas rare d'y voir apparaître d'excellents jeux, comme ça, du jour au lendemain, sans que l'on s'y attende vraiment. C'est un peu ce qui arrive avec SkyDrift, un jeu de course d'avions dont personne ou presque n'avait entendu parlé, mais qui risque bien de faire son petit bonhomme de chemin... dans les cieux. Allez, on fait vrombir les moteurs, tourner les hélices et c'est parti !
Tout comme la série des Pro Evolution Soccer ou des FIFA, un nouvel épisode de Call Of Duty sort chaque année. Le dernier en date Call Of Duty : Black Ops utilise toutes les grosses ficelles connues par les éditeurs pour faire un succès et surtout de l'argent. La mode est au DLC (contenu téléchargeable payant) alors Activision nous en sort à toutes les sauces. Quatre sont déjà sortis. A 15€ le DLC, Activision vous a fait payer le jeu le double de son prix. Merci qui ?
La renaissance d'un géant
Remake, prequel, sequel, quel que soit l'anglicisme utilisé, ressusciter une licence reste une opération délicate. Mais à cœur vaillant, rien d'impossible et cela n'a pas empêché Eidos Montréal de créer un nouveau jeu dans l'univers de Deus Ex. Considéré par beaucoup comme l'un des meilleurs jeux vidéo de tous les temps, le pire était donc à craindre. Mais Human Revolution est l'exception qui confirme la règle.
TimeGates Studio a décidé d'octroyer une suite au premier Section 8, un shoot à le première personne qui était de facture classique, mais pourvu de certaines qualités qui donnent espoir quand à ce second volet. Avec un gameplay nerveux et rapidement pris en main, l'éditeur tente de fournir à petit prix une expérience agréable surtout orientée vers le multijoueur.