A l'occasion de la sortie de l'Episode III : La revanche des Siths, Georges Lucas réunit deux univers qui ont bercé notre enfance (Star Wars et Lego) dans un jeu d'aventure retraçant les épisodes I à III de la célèbre saga. Simple coup de pub ou réelle bonne idée ?
Sorti sur consoles il y a plus d'un an, The Suffering débarque maintenant sur PC, au travers d'un portage réalisé par Zoo Publishing. C'est donc un jeu de survival-horror techniquement pas franchement folichon pendant les premières minutes de jeu qui s'offre à nous, mais dont les aspects horror et surtout survival prennent rapidement le dessus et nous donnent la très nette envie de nous enfuir au plus vite de cette saleté de prison.
Lorsqu'il ouvre les yeux après plusieurs mois passés dans un coma profond, John Vattic se réveille, salement amoché, sanglé à un lit d'hôpital au beau milieu d'une espèce d'institut de recherches scientifiques assez douteux. Sans aucun souvenir et relativement stressé par la situation, le bougre parvient à se libérer en usant de pouvoirs psys dont il ne se savait même pas doué. Hey, ça tombe bien c'est pile poil ce qu'il lui fallait pour se frayer un chemin jusqu'à la sortie de cette pseudo clinique et par la même occasion tenter d'éclaircir les mystères qui entourent son passé !
Déjà le troisième épisode des aventures de Sam Fisher, l'as de l'infiltration hi-tech, et pas des moindres. Pour les habitués, pas de gros changements en perspective : comme dans Pandora Tomorrow, quelques nouveaux mouvements font leur apparition, d'autres sont simplifiés, mais dans l'ensemble le gameplay est toujours aussi excellent. Côté technique, le moteur graphique a bien évolué, proposant de magnifiques textures à nos yeux ébahis. Rajoutons à cela l'apparition d'un mode coopératif et d'un dépoussiérage du mode versus de l'épisode précédent et on obtient un savoureux mélange. Pour faire court : Chaos Theory a tout d'un grand jeu.
Attendu par des millions de fans, le dernier Metal Gear Solid réserve une fois de plus son lot de surprises. S'il serait coupable de dévoiler les rebondissements d'un scénario surprenant, et fastidieux d'énumérer toutes les gâteries que le jeu réserve, retenons simplement ceci : Metal Gear Solid 3 est un jeu d'infiltration atypique qui ne risque pas de faire l'unanimité. Tant mieux, en un sens, en ces temps où la qualité d'un titre est trop souvent établie bien avant sa sortie.