- Éditeur Ubisoft
- Développeur Ubisoft Montréal
- Sortie initiale 31 mars 2005
- Genre Third Person Shooter
Déjà le troisième épisode des aventures de Sam Fisher, l'as de l'infiltration hi-tech, et pas des moindres. Pour les habitués, pas de gros changements en perspective : comme dans Pandora Tomorrow, quelques nouveaux mouvements font leur apparition, d'autres sont simplifiés, mais dans l'ensemble le gameplay est toujours aussi excellent. Côté technique, le moteur graphique a bien évolué, proposant de magnifiques textures à nos yeux ébahis. Rajoutons à cela l'apparition d'un mode coopératif et d'un dépoussiérage du mode versus de l'épisode précédent et on obtient un savoureux mélange. Pour faire court : Chaos Theory a tout d'un grand jeu.
Allez, parle vile coquin !
Un grand cru !
Wahou
Mais où est donc passé Sam ?
Moulti-path
Lui, je l'ai repéré
Hacker n'est pas jouer
Les (rares) éclairages sont magnifiques
Coop ou versus ?
Celle là ne va pas tenir longtemps...
- C'est beau !
- L'ambiance musicale prenante
- On peut passer par plusieurs chemins pour arriver au bout
- Les principes de l'EEV et de l'OCP
- Le multijoueurs
- L'agressivité des joueurs sur Ubi.com
Plus difficile, mais aussi plus complet, que les épisodes précédents, même si la limite des trois alarmes déclenchées a été finalement supprimée, Splinter Cell 3 surprendra même les joueurs les plus expérimentés, ceux qui estiment être des espions dans l'âme et qui terminent les deux premiers opus avec une main dans le dos. Le défi est bien présent à travers chacun des 11 niveaux solos qui composent le jeu, et la replay value est loin d'être nulle, surtout si on la compare aux deux épisodes précédents : nombreux sont ceux qui vont recommencer les niveaux pour explorer toutes les voies possibles, ou tout simplement pour se voir gratifier d'un score de 100% pour leur finition parfaite. Au final, Splinter Cell : Chaos Theory est enfin la véritable et digne suite de Splinter Cell premier du nom, celle que les joueurs attendaient fébrilement, dotée d'un mode multijoueurs efficace, et proposant des missions encore et toujours aussi immergentes, et ce n'est sans doute pas l'excellente musique, composée par Amon Tobin, qui viendra ternir ce tableau idyllique.