Lara Croft exp(l)ose sa légende
Tout ou presque a été dit sur Tomb Raider : du bon, du mauvais, du faux, du vrai. Et, quoiqu'on en pense, c'est bien là la preuve d'une série culte et d'une héroïne virtuelle incroyablement célèbre. Si elle envoûte beaucoup de joueurs, elle en agace également tout autant. Le pari de Tomb Raider Legend, septième épisode programmé par Eidos pour redorer son blason, tente de mettre tout le monde d'accord. Inutile de faire durer le suspense plus longtemps : il y parvient de façon magistrale. Et qui mieux que Lara Croft elle-même pour vous en persuader ?
Certains joueurs ont pris la mauvaise habitude de critiquer les remakes sur PSP, parfois violemment mais toujours aveuglement. Si beaucoup de ces remakes sont effectivement malhonnêtes, d'autres parviennent à renouveler l'intérêt original. Mega Man Maverick Hunter X est beaucoup plus qu'un simple dépoussiérage de Mega Man X, sorti à l'époque sur Super Nintendo.
Il fut un temps où la simple évocation du nom de L'Entraîneur (Championship Manager pour les intimes) provoquait chez les fans, une excitation démesurée. Pour les managers en herbe, Championship Manager était le nec plus ultra. Mais depuis deux ans, rien ne va plus chez Eidos. Les créateurs de la série, Sports Interactive ont filé à l'anglaise chez SEGA avec base de donnée et code source. Tout est à reconstruire pour Eidos. Après un Championship Manager 5 de transition, cet opus 2006 espère accéder au titre convoité de meilleur simulation de gestion footbalistique.
Les Worms, nés de pixels roses, ont bien grandi, grossi, mais sans pour autant évoluer : toujours aussi chamailleurs, ces petits garnements ! Laissez-les cinq minutes dans un jardin et les voilà qui s'étripent à coups de bazookas, de grenades à fragmentation et autres moutons piégés. Ces sales gosses sont pourtant attachants, avec leur bouille à croquer et leurs dialogues incomparables. Les voilà qui prennent d'assaut la PSP dans Worms Open Warfare. Sauront-ils y tenir un siège ?
Préparez vos pouces, ménagez vos articulations, Street Fighter Alpha 3 Max va vous en faire voir de toutes les couleurs. Graphiquement à la hauteur de sa réputation, il reste tout aussi technique que ses ancêtres dont la jouabilité reposait sur des bornes d'arcade. Imaginez le résultat sur une PSP, ce petit objet si délicat : un vrai massacre ? Le pad analogique sera-t-il à la hauteur pour encaisser combos et coups spéciaux ? M. Bison restera-t-il indétrôné ? Blanka ne mange-t-il vraiment que des épinards ? Vous le saurez en lisant ce test.
Les années 80 n'ont pas vu naître que des vilaines choses, comme l'apogée de la disco et la mode des vêtements fluos : il y a aussi eu l'apparition des bornes d'arcades, parmi lesquelles celle d'Outrun, l'une des gloires de Sega qui a contribué à poser les bases de la course arcade. Pour son vingtième anniversaire et un an et demie après la sortie d'un Outrun 2, la série déboule sur consoles avec Outrun 2006 : Coast 2 Coast pour reconquérir les nostalgiques et convertir les jeunes impies. Pari réussi ?