Beaucoup d'entre vous se souviennent des très bonnes aventures vidéoludiques des personnages créés par Walt Disney sur vos machines de salon. Castle of Illusion sorti sur Megadrive et Gamegear est un des titres les plus choyés de la génération 16 Bits. Effet de mode oblige, Sega vous propose un remake (et non une mouture HD !) d'un de ses plus gros succès n'impliquant non pas un hérisson mais une souris : Mickey.
A la découverte d'étendues sauvages
De nos jours, qui parle de "jeu à succès" entend souvent "une suite moins bonne". Cette année a encore été riche en pseudos déceptions. Dans cette période charnière où tout le monde attend la nouvelle génération de consoles, Capcom nous propose Lost Planet 3, avec l'idée originale de revenir sur les origines de la série. Doit-on pour autant craindre le pire ?
Splinter Cell : série d'infiltration ayant fait le succès d'Ubisoft Montréal pour la beauté de ses graphismes et la profondeur de son gameplay. Après avoir fait les beaux jours de la première Xbox, la série s'est peu à peu perdue, s'enfonçant sans cesse dans la linéarité et le bourrinisme. Conçu dans le nouveau studio de Toronto, Tom Clancy's Splinter Cell : Blacklist parvient-il à inverser la tendance ?
Petit à petit, le jeu vidéo indépendant s'est fait une place dans le cœur des plus endurcis des joueurs en proposant des expériences différentes. Sous l'aspect charmant de cet Element4l se cache un Die & Retry pointilleux qui vous demande de l'habileté et de la réflexion. Voila donc un jeu où les plus chevronnés d'entre vous peuvent exprimer leur talents.
À vos souris... Pointez, cliquez !
S'il est un genre particulier très peu médiatisé, il s'agit bien de point & click, ces jeux très calmes dans lesquels il faut résoudre des énigmes afin d'arrêter un mal qui, souvent, menace le monde du héros. Pendant des années, LucasArts étaient considérés comme les maîtres du genre. Mais ça, c'était avant. Daedalic Entertainment, un studio allemand, a développé plusieurs jeux d'aventure point & click, dont L'Oeil Noir : Les Chaînes de Satinav.
Lifting intégral pour plaisir maximal
Comparé à son prédécesseur, Final Fantasy XIV a connu un sort bien tragique. Ennuyeux, buggé, injouable, les superlatifs n'ont pas manqué pour le décrire tandis que les abonnements s'effondraient dès les premiers mois de service. Après des mea culpa à la chaîne et trois ans de travail acharné, le jeu ressort avec le sous-titre "A Realm Reborn". Reste à juger si résurrection est le terme adéquat.