Qu'est-ce qui fait une bonne parodie ? Sans doute le plaisir de voir des situations absurdes traitées avec le plus grand sérieux. C'est la recette de Devil May Cry 4, un jeu éblouissant qui vous propulse sur le devant de la scène. Baroque, endiablé, poseur, frimeur, exubérant, ce titre est certainement le jeu d'action le plus délirant à avoir vu le jour sur PlayStation 3. Un vrai bonheur qui fait l'effet d'une baffe, à condition de se laisser emporter par sa sarabande musclée.
Les boss ne sont là que pour mettre en valeur vos pouvoirs surhumains.
La classe internationale
Un boss ? Où ça ?
Nero remplace Dante, que vous pouvez tout de même incarner en finissant le jeu.
Le score : une idée de génie
Achetez de nouveaux coups pour finir les niveaux plus vite et avec plus de classe.
L'effet de manque
Attendez-vous à quelques surprises au fil du jeu !
- Réalisation superbe
- Classe et décontraction
- La course au score et au style
- Quelques problèmes de caméra
- Un peu court
Nerveux. Brutal. Décontracté. Décomplexé. Le dernier né de Capcom est un vrai régal, un pur bonheur, qui va vous faire plonger tête baissée dans un univers fantasmagorique à la beauté envoûtante, au rythme endiablé. Laissez-vous emporter par ce tourbillon, laissez-vous submerger par ce désir de puissance et cette soif de reconnaissance que Capcom sait si bien susciter dans le cœur de tout vrai joueur : vous ne le regretterez pas ! Le seul regret que vous aurez, c'est cette impression un peu triste d'avoir fini le jeu trop vite...