Ô joie : un jeu basé sur un blockbuster et qui, qui plus est, sort en même temps que son père spirituel cinématographique. Que de bonheur pour un testeur aigri qui ne demande qu'à massacrer. Par exemple, un de ceux qui ne se serait jamais remis d'avoir fait pipi en classe le jour où les dames de l'école n'avaient plus que des culottes de fille à prêter. Seulement, dans ce cas précis le jeu est une surprise. Et une bonne ! Alors finie l'aigreur. Le bonheur incommensurable envahit les tripes à l'idée de découper dans des gerbes de sang des centaines d'ennemis. Oui, Wolverine, c'est vous !
Jamais, Ô grand jamais, personne n'eut pu croire à certaines alliances improbables. Des concepts adaptés, modifiés, remodelés pour arriver à un résultat, un mixte entre deux idées de départ. C'est dans cette lignée que se place Dynasty Warriors : Gundam 2. Les différents Dynasty Warriors sont des Beat'em all, teintés de stratégie, se déroulant dans la Chine médiévale. Koei, a décidé d'adapter ce concept à la série Gundam. Fini, les combats en arme blanche monté sur des chevaux. Maintenant vous voilà aux commandes de robots géants avec lesquels il vous faut détruire des légions d'autres robots géants à grand coup de blaster canon et d'épée laser.
C'est la guerre ! Le Parrain 2 vous offre l'occasion de rejoindre une Famille, et pas n'importe laquelle : celle des Corleone, une des plus puissantes de la ville. Directement placé sous les ordres de Mickaël, le fils modèle qui a pris une nouvelle dimension depuis qu'il a assassiné un flic, vous allez apprendre les rudiments du métier : le racket, les interrogatoires musclés, les fusillades, les sabotages et les bagarres. Un menu alléchant mais qui se révèle très vite indigeste, à cause de quelques tares techniques vraiment graves.
Sorti en juillet 2008 dans les salles obscures, Wanted : Choisis ton Destin a davantage relevé de l'anecdote estivale que du film qui marque durablement les esprits. Neuf mois plus tard, les développeurs de GRIN accouchent de Wanted : Les Armes du Destin, un portage qui échappe pour une fois au traditionnel copier-coller de l'intrigue cinématographique. Est-ce pour autant synonyme de succès ? Rien n'est moins sûr...
Après un épisode sur Wii assez moyen, la série des Destroy All Humans ! est de retour sur la console de Microsoft. En route pour Paname ! met toujours en scène Crypto un extraterrestre qui avait pour mission de détruire tous les humains, mais qui ne semble pas trop prendre cette dernière au sérieux. Un peu comme la série des Destroy All Humans qui s'amuse à balader les joueurs depuis quelques temps. Dommage car elle avait du potentiel.
Une certaine logique préside normalement le monde des jeux vidéo. Lorsqu'une nouvelle génération prend place, la fournée de titre doit être époustouflante, tant sur le plan graphique que sur la profondeur de l'intrigue (renouveau oblige). Silent Hill : Homecoming décide donc de ne pas respecter ses règles en alternant le bon et le médiocre, pas toujours de manière très habile ma foi. Je n'oublie pas les fans de la saga qui peuvent jouer des castagnettes devant le résultat final. Comme quoi, il fait peur parfois.