Fan de Medal of Honor ou des premiers Call of Duty, réjouissez-vous : la Seconde Guerre mondiale est de retour. La parenthèse "combat moderne fictif", ouverte par Infinity Ward avec Modern Warfare, est en effet refermée par Treyarch. Laissez votre M16 à l'armurerie et ressortez du grenier votre vieux Garand : c'est reparti comme en 40 !
Vous avez été très patient, il a fallu attendre dix ans pour avoir enfin le troisième volet de l'un des meilleurs RPG post-apocalyptique. Par contre, le développement du jeu est passé entre d'autres mains. Bethesda Softworks a repris le flambeau mais comme pour The Elder Scrolls IV : Oblivion, Fallout 3 se doit de rester dans la même ambiance et coller parfaitement à l'univers. Bethesda Softworks fait passer Fallout 3 d'un jeu de combats tour par tour à un semblant d'FPS.
Mount & Blade et Taleworlds vous souhaitent la bienvenue sur les terres ancestrales de Calradia. Cinq royaumes se disputent le territoire. Vous devez choisir un camp et prendre les armes. Voici votre guide, écoutez-le, il est de bon conseil : "Chevaliers, monte sor ton cheval seüremant, pran ton escu, ton cheval et ta lance, si joste a moi ! "
Avec son optique de renouveau, Electronic Arts propose un survival-horror dans la lignée de Resident Evil, atmosphère science-fiction en sus. Dead Space démontre que, dans l'espace, personne ne vous entend crier. Ni vous entretuer d'ailleurs. A croire que les étoiles sont les clous du cercueil.
La saga James Bond n'en est pas à ses premiers essais vidéo ludiques puisque plus d'une vingtaine de jeux ont vu le jour depuis le début des années 80. Sans grande surprise, Quantum of Solace, le dernier film de la série, se décline donc lui aussi en jeux vidéo. Dans la jungle actuelle des jeux à licences, le titre de Treyarch (studio ayant déjà adapté sur consoles plusieurs films à gros budgets comme Spider-Man 2) a d'emblée un atout de taille : la reprise du moteur de l'excellent Call of Duty 4. De plus, sur le papier, le jeu promet d'apporter un peu plus que de simples fusillades à la première personne. Si avec tous ces éléments aguicheurs, tuer n'est pas jouer...
Après une édition 2008 décevante, Pro Evolution Soccer revient sur le terrain plus motivé que jamais. Les gros défauts de la précédente version ont été corrigés, certes, histoire de rassurer les fans de la première heure. Mais le problème, c'est que la concurrence ne s'est pas endormie pendant ce temps... Dans ces conditions, rester le meilleur jeu de foot du moment n'est pas simple. Et c'est précisément ce qui inquiète au premier lancement de Pro Evolution Soccer 2009.