Vous êtes mort ! Shepard, le héros de la galaxie, a succombé lors de l'attaque surprise de son vaisseau spatial. Vous commencez le jeu dans l'espace, un prologue exceptionnel, dérivant dans le vide intersidéral au milieu des débris du Normandy, ce même vaisseau que vous avez obtenu puis appris à diriger dans le premier Mass Effect. Une fuite de votre combinaison spatiale vous entraîne doucement mais sûrement vers la mort... et vers le diable, un individu tout puissant qui prétend vouloir sauver la race humaine. En échange d'une seconde vie, une reconstruction moléculaire spectaculaire qui vous fait revenir d'entre les morts, celui-ci vous charge d'affronter les Moissonneurs, une race extra terrestre qui décime l'humanité. A vous de relever le défi dans ce jeu d'action aventure où les dialogues sont aussi importants que les compétences guerrières, où les rapports sexuels côtoient les génocides, où la psychologie influence chaque décision et où, au final, il est terriblement question de morale...
Les développeurs de Playlogic, ont eu une bonne idée de base pour ce Fairytale Fights. Réaliser un jeu dans un univers tout mignon mais complètement trash et gore à l'excès. Jouant dans la veine d'Itchy et Scratchy (dessin animé remarqué dans Les Simpsons) ou encore Happy Tree Friends. Fairytale Fights se déroule donc dans l'univers des contes de fées, mais vous devez trucider vos ennemis, les écharper, les exploser, les décapiter, les couper en petits morceaux… en bref : leur faire mal. Le tout est accompagné d'effusions de sang gigantesques. Un jeu à ne pas mettre entre toutes les mains. Réflexion faite, un jeu à ne mettre dans aucune main.
Depuis leur création en 1932, les célèbres jouets danois ont adapté des dizaines d'univers. Spiderman, Batman, Bob L'Eponge : la liste est longue et n'est pas prête de s'arrêter au vu du succès rencontré. Même le Prince de Perse a droit à sa version 'légoisée'. L'industrie vidéo ludique n'échappe évidemment pas à la déferlante LEGO, et tandis que le plus connu des sorciers d'Hogwarts est en passe d'être lui aussi adapté, c'est Indiana Jones qui revient pour de nouvelles aventures. Le Royaume du Crâne de Cristal est-il aussi plat en jeu LEGO qu'en film ? Le verdict sans plus attendre.
Vous avez entendu parler de Baldur's Gate ? Considéré comme le meilleur jeu de rôle PC, le pauvre n'avait jamais eu de réel successeur. Autant dire que quand Dragon Age : Origins a pointé le nez pour prendre la relève, l'attente autour de ce titre est devenue fébrile. Un peu trop peut-être : inutile de faire durer le suspens, Dragon Age : Origins n'a malheureusement pas la carrure de son aîné. Ne lui crachons pas dessus pour autant : c'est malgré tout un excellent jeu de rôle à l'ancienne, un titre à savourer en solo tout seul chez soi. Comme au bon vieux temps, avant l'invention du MMORPG.
Au milieu de l'effervescence provoquée par les grosses sorties de cette fin d'année s'installent sur les rayons certains titres qui passent – parfois hélas – inaperçus. Code d'Honneur 3 : Mesures d'Urgence en fait partie. Certes il est très en deçà de la concurrence mais certains de ses aspects méritent que des hommages lui soient rendus. Et des vrais, pas de ceux fabriqués de toutes pièces pour vanter les mérites d'un jeu qui n'en a pas.
A croire qu'une malédiction lévite en permanence sur le microcosme des licences de jeu vidéo. Si les films ont le mérite d'être relativement bon (surtout les deux premiers) cet arc narratif, justement entre Saw 1 et 2, fait partie des pires entreprises jouables auxquelles j'ai eu le plaisir d'y passer quelques heures. En même temps il fallait le voir, enfin le Saw, pour le considérer.