Sa majesté des mouches
- Éditeur Warner Bros. Interactive
- Développeur Techland
- Sortie initiale 27 janv. 2015
- Genre Survival
Encore un monde ouvert ? Encore un jeu de zombies ? Certes, mais Dying Light semble tirer le meilleur des deux pour vous proposer une expérience aussi stressante qu'amusante. Qui n'a jamais rêvé de se servir de zombies comme tremplins ? Et que se passe-t-il quand un dictateur prend le contrôle d'une zone infestée de morts vivants ? Voyons voir.
L'histoire
Le principe
Attaque plongeante sur le gros là ?
Mais vous n'êtes pas là que pour une séance de gym. De manière assez classique, les différents personnages comptent sur vous pour remplir des missions de collecte : un échantillon de peau d'un zombie un peu spécial, une paire de lunettes oubliée dans son ancienne maison, de l'antizine... En route, vous prenez un malin plaisir à fouiller chaque coffre de voiture ou toute boîte à outils que vous trouverez dans le but de collecter des éléments permettant de fabriquer des pièges et améliorer vos armes. La hache électrique est assez efficace, tandis que le cocktail Molotov reste un incontournable pour brûler une brochette d'ennemis, zombies ou humains.
Le multi
C'est tous les jours la Saint-Jean.
Pour qui ?
Enchanté madame. Votre fils semble tout à fait normal.
L'anecdote
Bonjour monsieur, la sortie je vous prie ?
- Éviter ou dézinguer les zombies : vous avez le choix
- L'accompagnement dans la prise en main
- La vaste carte et les nombreuses missions
- Il y a toujours quelque chose à faire
- Le doublage français à côté de la plaque
- Manque un peu de variété dans les décors
Carton plein pour Dying Light qui satisfait totalement ses promesses. Certes vous êtes dans un système de jeu connu, mais Techland maîtrise son sujet. L'environnement est vaste, les missions nombreuses et variées, au rythme bien ficelé, et l'ambiance globale qui se dégage vous pousse à avancer. Et la liberté apportée par les aptitudes en parkour du héros réussit là où toute la série des Assassin's Creed a échoué : vous ne vous cognez pas bêtement contre les murs, vous avancez aussi bien horizontalement que verticalement. On en redemande.