- Éditeur Bandai Namco Entertainment
- Développeur Bandai Namco Entertainment
- Sortie initiale 3 févr. 2012
- Genre Combat
Pâtissant d'un online médiocre ainsi que de quelques personnages et nouveautés pas forcément bienvenus, SoulCalibur IV avait décu de nombreux fans de la franchise de Namco-Bandai. Heureusement, le titre arborait une technique digne des supports HD et l'émerveillement visuel avait au moins de quoi régaler nos rétines. Quatre ans ont passé et voici SoulCalibur V, un volet qui, comme nous allons le voir, risque de faire polémique. Le parti pris ambitieux du titre laisse en effet avant tout penser à un épisode de transition.
Le narration du mode histoire est honteusement simpliste.
"Welcome in a new age of History"
Du sang neuf
Viola, l'une des nouvelles combattantes particulièrement intéressantes de ce SoulCalibur V.
Soif d'ambition
Les critical edge sont souvent superbement mis en scène et bien intégrés aux combats.
Les yeux plus gros que le ventre d'Astaroth
Mitsurugi n'a rien à envier à Algol, vraiment.
SoulCalibur Party 5
Réussi, le mode en ligne permet de croiser d'étranges créations...
Certaines choses ne changent pas
La modélisation des personnages est exceptionnelle. Ce sont les fans d'Ivy qui vont être contents.
- C'est beau, même plus parfois
- Une refonte audacieuse du gameplay
- On s'amuse quand même
- Des personnages bienvenus
- L'éditeur de personnage, toujours plus complet
- Un vrai mode en ligne, enfin !
- Des furies et un manque d'équilibre qui ternissent le gameplay
- La mise en scène du mode histoire
- Un contenu solo rikiki
- Trop de mimic characters et clones bonus
- L'obtention d'équipement, trop laborieuse
Difficile de ne pas être déçu par ce SoulCalibur V. Avec son contenu solo en demie teinte et son gameplay particulièrement mal équilibré, la franchise semble se perdre. Pourtant, cet épisode est probablement l'un des plus ambitieux de la série. Bourré d'idées audacieuses et pas forcément malvenues, le titre amuse tout de même et tient également son rang sur le plan technique. Pareillement, le mode en ligne est enfin convaincant. Dès lors, il n'y a plus qu'une chose à espérer : que Namco-Bandai tire profit de tout ce travail pour nous faire un SoulCalibur VI vraiment digne de ce nom.