- Éditeur Rockstar Games
- Développeur Team Bondi
- Sortie initiale 20 mai 2011
- Genres Action, Aventure
Figurant parmi les jeux les plus attendus de 2011, L.A. Noire, jeu d'aventure doublé d'un GTA-like, arrive enfin sur nos consoles. Édité par Rockstar mais développé par la Team Bondi, jeune studio sans antécédents, le titre nous permet d'incarner un inspecteur du L.A.P.D. (les forces de Police de Los Angeles) en 1947. Après de nombreuses enquêtes et patrouilles, voici notre verdict.
Cole prend son métier très à coeur et ne laisse filer aucun suspect.
Noire c'est noir
L.A. jolie
Après une nuit d'orages, l'aube se lève sur la Cité des Anges, resplendissante.
Élémentaire mon cher Watson !
Les expressions faciales sont parfois dures à déchiffrer.
Il vous faudra parfois filer un témoin pour trouver le coupable.
- Les environnements, divers et variés
- La réalisation des protagonistes
- La durée de vie, honorable
- Les répliques, fameuses
- L'investigation, la recherche des indices
- Les deux fils rouges, classiques mais efficaces
- Les courses-poursuites
- La carte
- L'atmosphère pas assez creusée
- La routine qui s'installe au bout d'un moment
En conclusion, L.A. Noire parvient à mêler aventure et GTA-like avec brio. La bonne utilisation de musiques et de flashbacks de la guerre vous permet de fusionner entièrement avec le personnage de Cole Phelps. De plus, on ne peut qu'acclamer le jeu pour ses doublages fameux et pour l'admirable animation des personnages, possible grâce au Motion Scan qui révolutionne le genre. Jamais plus vous ne supporterez des visages inexpressifs, peu crédibles et fades. Le réalisme présent dans le titre émerveille et rend l'immersion encore plus grande. Parallèlement, difficile d'oublier les quelques textures ratées recouvrant certains immeubles ou rues, la routine qui s'installe au bout d'un certain temps et l'atmosphère de la ville, pas assez crue et pas assez fouillée. Des hauts et des bas donc, mais au final, vous finirez toujours par aimer jouer à L.A. Noire, rien que pour sillonner les rues de la ville en coupé cabriolet, sirènes hurlantes. Vraiment, chapeau bas !