Une performance solide
- Éditeur Codemasters
- Développeur Codemasters
- Sortie initiale 26 févr. 2019
- Genre Course
À force de tester des jeux de course, on en vient à se demander si le genre ne tourne pas lui-même en rond. DiRT pousse cette image assez loin puisque son nom est désormais synonyme de deux titres distincts. Ainsi, DiRT Rally 2.0 n'est pas à confondre avec DiRT 2, sorti il y a maintenant 10 ans.
Les graphismes
Le principe
Il faut avouer que ça a de la gueule, en plus de grandement renforcer l'immersion.
Pour qui ?
Des sessions "historiques" sont présentes, permettant de prendre le volant de bolides mythiques.
L'anecdote
Si vous dépassez le temps limite de réparation, vous aurez une pénalité.
- La gestion de la lumière
- Les réparations et dégâts
- Accessible aux néophytes
- Une bonne simulation si vous touchez aux réglages et à la difficulté
- Plutôt joli et fluide
- Un petit manque de diversité tout de même
- Quelques éléments qui semblent toujours être de trop (épreuves annexes, etc.)
S'il n'est pas très original, DiRT Rally 2.0 a quelques qualités le hissant dans le haut du panier des jeux de course. D'abord, il y a sa gestion de la lumière qui demande au joueur de s'adapter en fonction de la météo. Cela peut paraître anecdotique, mais nous n'avions pas vu une aussi bonne prise en compte du soleil depuis les meilleurs épisodes de Forza (sur Xbox One). Un point qui ajoute donc un peu de sel au gameplay. De plus, nous aimons le côté un peu brut de décoffrage du titre, allant au plus simple et y compris lorsqu'il s'agit de son système de progression. Ici, pas de bla-bla à outrance et simplement des menus vous permettant d'améliorer ou réparer votre véhicule. C'est bien, et ça va presque à contre-courant de cette mode lourdingue impliquant de passer plus de temps en dehors que sur les pistes. Un jeu pas forcément surprenant donc, mais plutôt bien équilibré et pouvant convenir à tout le monde.