Comme chaque mardi, un membre de la rédaction pousse un coup de gueule sur l'actualité du jeu vidéo : l'énième report d'un jeu attendu, la fermeture d'un studio, une annonce d'un jeu qui "sent pas bon". Mais ça peut également être l'occasion pour lui de revenir sur une expérience malheureuse sur un jeu en cours de test, ou même un échange tendu sur la tribune autour d'un sujet particulier. Bref, aujourd'hui, voici le coup de gueule...
Visiblement, ils ne perdent pas le nord chez Bandai Namco. Dragon Ball FighterZ proposera une version dématérialisée "sobrement" intitulée Ultimate Edition, et incluant onze musiques du célèbre dessin animé. Les pistes convoitées depuis tant d'années par les fans (et en particulier les occidentaux) nécessiteront donc d'être achetées. Alors là, on va sûrement nous expliquer que ça coûte cher. Su-per. Qu'ils ne viennent pas nous raconter qu'ils n'ont pas les moyens de rentrer dans leurs frais avec une licence aussi prestigieuse que Dragon Ball, et avec l'engouement qui entoure déjà le prochain titre d'Arc Sytem.
Là où cela devient cocasse c'est que, sur Twitter, l'éditeur a confirmé que ces musiques (ainsi que les huit personnages bonus) ne seraient pas incluses dans le collector physique du jeu. On suppose donc que les fans devront repasser à la caisse pour acheter le pack de musique en question. Sympa pour une contenu qui joue inévitablement sur l'ambiance. Alors que certains rétropédalent concernant les DLC (ou du moins s'en servent plus judicieusement qu'auparavant), il semblerait que Bandai Namco préfère foncer dans le mur tête baissée. Mais bon, du moment que l'argent est là...