Comme chaque jeudi, un membre de la rédaction partage avec vous une capture d'un jeu en cours de test – ou pas – qu'il juge intéressante, étonnante, informative, drôle ou même sexy. Bref, aujourd'hui, voici le screenshot...
Dying Light fait partie de ces jeux dans lesquels je replonge régulièrement, même après l'avoir totalement épuisé de ses quêtes et missions annexes. Juste pour me replonger dans le bain sanguinolent et purulent qu'il offre. Si vous ne le connaissez pas, foncez ! Vous êtes parachuté dans une ville sud-américaine plongée en quarantaine après qu'une épidémie de zombification assez violente ait éclaté. Je me rappelle de mes 20 premières minutes de jeu, tétanisé, où je sautait de toit de voiture en toit de voiture, hurlant de terreur à chaque zombie râlant derrière le moindre rétroviseur.
Et puis on s'y fait, à ce pays de désolation. On prend ses marques. On joue avec l'environnement. C'est ce qui s'est passé sur cette petite île, entre deux bouches d'égout et pas loin d'une station d'épuration. Alors que je me promenais au gré de mes envies, tranchant quelques têtes et cherchant quelques plantes rares, je tombe sur cette furie plutôt coriace. Plutôt que de la dépecer proprement, je profite d'une bonbonne de gaz restée accrochée au dos d'un malheureux toubib pour déclencher une explosion qui fera voler la zombifiée tel un boulet de canon. Il n'y a que dans Dying Light que vous pouvez jouer ainsi avec des zombies.