S'il emprunte le nom du célèbre chevalier du XVIIIe (cliquez ici pour vous cultiver cinq minutes), le FPS Eon laisse aussi de côté toute la subtilité du personnage. Il suffit de prendre connaissance du pitch pour s'en rendre compte : le jeu oppose le Bien et le Mal dans un dernier combat cataclysmique, une heure avant la destruction totale de l'humanité... Rien que ça.
Ce premier titre des canadiens de Corona Leonis Entertainment est en fait développé à partir d'une souche d'Unreal Tournament 2003 et 2004. Il y a donc fort à parier sur ses capacités techniques et graphiques. Cette première [url=_self,http://www.gamatomic.com/ga/articles.aspx?tx_id=425"]galerie[/url] permet déjà de se faire une sympathique idée de la bête.