Alors que la terre se tourne vers l'hémisphère sud pour applaudir les exploits de la Coupe du Monde de Rugby, c'est un autre ballon qui vient se présenter à nous dans ses célèbres simulations. Une nouvelle saison ayant commencé, l'habituel duel FIFA et PES recommence de plus bel cet automne. Commençons avec Pro Evolution Soccer et ses améliorations 2012 qui pourraient bien permettre à Konami de rattraper son retard.
Dès les premiers screenshots, il était difficile de ne pas voir en Rotastic un énième jeu pour téléphone portable. Pourtant, c'est bien sur Xbox Live Arcade et PlayStation Network que le jeu est disponible. Un choix compréhensible quand on sait que ce type de titres peut être vendu plein pot sur les plateformes de Microsoft et Sony. Est-ce une raison suffisante pour bouder ce jeu parisien ? Quand même pas.
Vous aimez la guerre ? Les factions qui se déchirent, les immeubles qui explosent, les fusils à canon scié ? Bodycount est dans cette lignée, un jeu d'action en vus subjective qui tache et qui tache bien. Pas de scénario, pas de mise en scène, rien que de l'action : pour un peu, on se croirait dans un de ces films d'action décérébrés où seules les explosions comptent. Ce qui pourrait suffire, si Bodycount avait ce petit quelque chose qui démarque les productions moyennes des jeux accrocheurs. Ce n'est malheureusement pas le cas.
Excellente surprise de l'année dernière, F1 2010 n'était pas parfait pour autant. Autant dire que les adeptes de la nouvelle franchise de Codemasters attendaient beaucoup de cette mouture 2011. Une attente qui s'est vite transformée en appréhension pour certains, avec la sortie de DiRT 3, où la preuve que les licences ne prennent pas toujours le chemin qu'on souhaiterait. Heureusement, F1 2011 balaye rapidement les doutes et demeure loin de ce triste constat.
TrackMania est une success-story à la française comme on aimerait en voir plus souvent. Sorti en 2003, le jeu original s'est vu bardé de multiples extensions jusqu'à ce que Nadéo se décide à sortir une vraie suite en bonne et due forme. Sous-titrée "Canyon", le développeur annonce la couleur avec un concept toujours aussi puissant mais morcelé.
Dévoilons un secret de polichinelle : dans 90% des cas, un contenu téléchargeable est sacrement mauvais. Entre les armures pour cheval et les chapeaux rigolos, les joueurs sont constamment pris pour des pigeons ou des vaches à lait. Pourtant, il arrive que certains développeurs aient un éclair de génie et produisent une véritable valeur ajoutée. Oui, vous vous en doutez, c'est le cas de Obsidian Entertainement avec Fallout New Vegas. Pleins feux (atomiques) sur la dernière escapade du courrier.