- Éditeur Microsoft
- Développeur Rainbow Studios
- Sortie initiale 8 nov. 2002
- Genre Inclassable
Qui n'a jamais rêvé de prendre le volant de sa voiture en oubliant sciemment son permis de conduire ? Midtown Madness nous avait permis de concrétiser ce rêve en nous offrant la possibilité de foncer dans les rues d'une grande agglomération, en toute impunité ou presque, et de participer à des courses endiablées dans un environnement urbain très détaillé. La suite débarque, et si elle ne corrige pas tous les défauts de l'original, elle apporte un lot de nouveautés suffisamment conséquent pour justifier l'étiquette "suite".
Introduction
Mad Cities
THE souci du détail
Bolides de folie
Carton pâte
Une physique à deux balles
On prend les mêmes...
...et on en rajoute
- Le côté "arcade"
- Une liberté de déplacement importante
- La modélisation des agglomérations
- Le mode entraînement très réussi
- Les petits détails graphiques
- Un multijoueur complet
- Les commentaires amusants
- Des véhicules nombreux et au comportement varié
- Un moteur graphique gourmand et LAID
- Un réalisme relatif
- Des voitures "périphériques" laides et idiotes
- Les temps de chargements
- Assez rapidement répétitif
- MSN Gaming Zone obligatoire pour jouer sur le Net
C'est du fun en barre que cette suite de Midtown Madness nous propose car elle est beaucoup plus axée arcade que son prédécesseur. Le moteur graphique, toujours aussi laid, reste gourmand et nous oblige à réduire pas mal de paramètres (volume du trafic, nombre des piétons) pour obtenir une fluidité acceptable. Mais si le réalisme général en prend un coup, le gameplay accrocheur et, cette fois, grandement simplifié du premier Midtown (maniabilité revue) est au rendez-vous. Au rayon des nouveautés, la palme de la meilleure idée revient sans problème au mode d'entraînement. Bien pensé, impeccablement réalisé et très amusant, ce mode offre une alternative excellente au classique et rébarbatif tutorial. Avec Midtown Madness 2, Microsoft prouve, une fois encore, que sa branche "jeux vidéo" est toujours aussi efficace. Qui a dit "Heureusement pour eux !" ?.