Les sorties de la PS4 et de la XboxOne sont toutes proches, c'est donc le moment idéal de réviser ses bases et de parcourir une logithèque flamboyante mais bientôt éteinte par la nouvelle génération de console. Donc hop je me procure une Xbox 360 et arpente les magasins d'occasion pour me refaire une jeunesse vidéoludique de ouf. Et je tombe sur un jeu dont je m'étais promis de le finir, sans pour autant tenir cette promesse : Red Dead Redemption. En fait je me suis promis de le finir ainsi que Mafia 2, c'est une promesse moitié tenue. Donc en avant pour un GTA-like à la sauce "cow-boy de début du siècle". J'aurais pu ponctuer ce paragraphe par un "yeeeeaaahh" bien cliché mais non. Un peu de sérieux je vous prie.
Je hais les derniers Call of Duty, à part peut-être Black Ops qui par certains aspects me rappelle Vietcong, les tunnels intestinaux en moins. Seulement le nouveau Call of Duty : Strike Team destiné à être joué sur iPad principalement présente l'idée intéressante d'utiliser la vue tactique implémentée dans Black Ops II.
Vous ne connaissez peut être pas ce "j"RPG des coréens de Softmax sorti en 2009 sur nos bobox et pourtant celui-ci a de quoi rivaliser avec ses grands frères japonais. Non pas qu'il soit parfait mais Magnacarta 2 se révèle des plus plaisants, simple mais complexe, et surtout se dote d'un scénario digne de ce nom.
Alors que nous les attendions il y a presque 1 an déjà, les nouvelles consoles débarquent fraichement à l'E3 et en font voir de toutes les couleurs. Je vous propose ici, non pas un comparatif technique pièces par pièces des bêtes, mais quelque chose d'un peu plus subjectif avec notamment les choix de quelques membres du staff.
Le pari est osé, même fou : se rendre à Paris en ce soir de la fête de la musique pour admirer et profiter du dernier Star Trek en IMAX dans la salle du Gaumont du quai d'Ivry. Notre mission secondaire mais non négligeable est de finir la soirée au Dernier Bar Avant La Fin du Monde. Laissez vous conter le récit d'un périple au coeur de la capitale des geeks et la critique du dernier volet de cette fabuleuse saga.
Parfois, les éditeurs nous envoient, sans qu'on leur demande, des codes pour télécharger des DLC et poursuivre le plaisir d'un jeu. J'aime à penser (peut-être un peu naïvement) que cette attitude est en partie dû à la qualité du test précédemment écrit.
C'est ainsi que nous avons reçu un code pour tester le dernier DLC de Forza Horizon (qui rappelons le, est l'un des meilleurs jeux de courses de ces dernières années). Le principe de 1000 Club est on ne peut plus simple : cumuler de médailles en remplissant des défis avec chaque bolide présent dans votre garage. Très simple sur le papier, ce DLC s'intègre parfaitement au jeu, grâce à une interface intuitive et des défis adaptés aux véhicules. Evidemment, tout cela n'a que peu d'intérêt pour le commun des pilotes, mais devrait ravir les fans les plus durs de la franchise, ces derniers pouvant comparer leur score pour voir qui a la plus grosse (collection de médailles). Avec 1000 objectifs à remplir, 1000 Club comblera les pilotes les plus téméraires, ceux -là même qui ont retourné Forza Horizon dans tous les sens. Quoiqu'il en soit, se replonger dans le titre de Microsoft fut l'occasion de retrouver une dose non-négligeable de situations grisantes. Rouler dans des pleines désertique avec de la bonne musique à fond les ballons, ça n'a pas de prix.
28 avril 2013, le jeune studio de jeux Greenheart Games sort son premier jeu : Game Dev Tycoon. Le pitch : vous êtes aux commandes d'un studio de jeu vidéo et devez en produire un maximum pour rester rentable. Le même jour, le patron leake en torrent une version de son jeu, mais légèrement modifiée. De sorte que les joueurs piratant le jeu se retrouvent face à une difficulté absente du jeu 'normal' : des pirates pillent vos créations, et vous faites irrémédiablement faillite à chaque partie.
C'est vraiment très malin de la part de Patrick Klug, le patron de Greenheart Games. Un bon moyen pour faire passer un message à ceux qui n'achètent pas les jeux mais y jouent quand même. Au bout de 24h, il a pu observer que près de 90 % des joueurs jouaient avec la version pirate. Et que certains venaient se plaindre sur le forum de la difficulté du jeu. Ironie.
Mais qui est le vrai pirate ?
Les plus aguerris auront en effet l'oeil qui chatouille en lisant le titre et le pitch du jeu. Car en effet, il s'agit d'une pâle copie d'un jeu d'exception sorti en 1997 sur PC au Japon et réédité depuis sur iOS et Android : Game Dev Story, créé par le studio Kairosoft. La mécanique est incroyablement similaire, même les animations des personnages et de leur manière de travailler. Aucune originalité dans le travail de Patrick, qui même s'il dit s'en être inspiré, arrive au stade de simple copie à sa sauce. Et c'est dommage. Car la démonstration sur le piratage aurait pu être bien plus forte si ce jeu n'avait eu qu'une once d'originalité. Mais pour avoir passé des dizaines d'heures sur Game Dev Story, je ne vois pas comment on peut sortir un jeu comme Game Dev Tycoon et dire qu'il ne fait que partie des sources d'inspiration.
Depuis quelques semaines maintenant je m'adonne à un nouveau grignoteur de temps disponible gratuitement sur la toile: Mush. Ce nom est celui d'un vilain champignon qui parasite les êtres humains. Rassurez-vous, ils ne sont plus très nombreux et vous incarnez un des derniers survivants à bord du vaisseau Daedalus. Le principe du jeu est assez simple: Atterrir sur une planète habitable en ayant au pare avant démycosé les membres de l'équipage en présence.
Participant du concours Hits Playtime, des jeunes étudiants de l'ENJMIN (école du jeu et du multimédia) ont développé un concept sur un principe simple: La vie d'un facteur. Nous vous proposons ici de vous présenter ce projet pour PC.
Après avoir déversé mon venin sur certains manquements de LEGO Harry Potter : Years 5 – 7, j'ai tout de même tenté l'aventure de Tolkien revu avec des briquettes. LEGO Lord of the Rings a pour lui beaucoup de choses qui manquaient à l'autre épisode adapté du cinéma. Déjà, il est beau pour un jeu Légo. Quel régal de se balader dans la comté avec cette petite bruine. Ensuite parce que l'univers ouvert est gigantesque. Les voix de doublages ont été en partie reprises. La forge, les quêtes, les poneys, le précieux... Que du bon.
Vous m'avez trouvé très positif ? Ne vous inquiétez pas ce n'était que passager. Après avoir terminé l'histoire et quelques quêtes "accessibles", nous nous sommes lancés à la poursuite du 100%, et c'est là que le bas blesse.