Mardi, c'est le coup de gueule !
07 nov. 2017

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Comme chaque mardi, un membre de la rédaction pousse un coup de gueule sur l'actualité du jeu vidéo : l'énième report d'un jeu attendu, la fermeture d'un studio, une annonce d'un jeu qui "sent pas bon". Mais ça peut également être l'occasion pour lui de revenir sur une expérience malheureuse sur un jeu en cours de test, ou même un échange tendu sur la tribune autour d'un sujet particulier. Bref, aujourd'hui, voici le coup de gueule...

On les qualifie de "trolls", mais ça reste un terme trop sympathique. Depuis que les forums de jeuxvideo.com sont ouverts, c'est régulièrement que des utilisateurs percent et se retrouvent, parfois par jeu, dans la presse plus classique. Parfois pour des choses assez marrantes (de bons détournements), souvent pour des horreurs profanées sans limites.


Google News, le 6 novembre 2017.

Quel rapport y a-t-il avec le jeu vidéo ? JV.com est un acteur historique du web vidéoludique. Depuis l'Encyclopédie des Trucs et Astuces du Jeu Vidéo (ETAJV) et son avènement au web, jeuxvideo.com a toujours voulu garder la place de leader parmi les sites d'info sur les jeux. Ce qui en a fait, irrémédiablement, un aimant à fourre tout. À peu près n'importe quel joueur a un jour ou l'autre atterri sur le site. Et à peu près n'importe quel joueur s'est un jour ennuyé au point d'atterrir sur le forum. Mais à peu près n'importe quel joueur connaît ses limites. Sauf une minorité. Qui se sert donc des forums comme caisse de raisonnance pour mener des actions de harcèlement.


Twitter, le 6 novembre 2017. Les termes employés pour s'auto définir dépassent le délire.

Et puis les rats ont quitté le navire. Webedia, propriétaire de Jeuxvideo.com a décidé de sévir en se débarrassant de cette frange de lecteurs qui entache tout le site. Les énervés crieront à la liberté d'expression. Mais comme dans un bar, quand un client un peu bourré commence à emmerder les gens, il est gentiment mis dehors. Tout est une question de savoir vivre. Et non, les jeux vidéo n'ont rien à voir là dedans, c'est juste une excuse.

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