Avec plus de 30 millions d'exemplaires écoulés dans le monde, le phénomène Tomb Raider brasse une vraie communauté de fans. Eidos a bien compris qu'il fallait chouchouter cette communauté afin d'entretenir le buzz. L'éditeur vient donc d'offrir au très bon site Tomb Raider Chronicles, une bonne louchée de screenshots inédits de Tomb Raider: Legend.
Ces images, que nous reproduisons dans cette galerie, sont issues de la version PS2 du titre. Notez que les captures qui illustrent cette news proviennent, quant à elles, de la version PC.
Du côté des nouvelles infos sur les prochaines aventures de Lara Croft, un petit tour chez Captain Alban – sans doute le meilleur site francophone consacré à la série –, nous apprend que l'aventure se déroulera dans 8 grands niveaux subdivisés en plusieurs mondes. A l'heure actuelle, seul le Pérou, le Ghana et la ville de Tokyo ont été officiellement cités. D'autres lieux sont encore incertains : l'Angleterre, la Russie... Des images et une vidéo tirées d'un niveau sous-marin sont également disponibles. Le producteur du jeu, Morgan W. Gray, a par ailleurs révélé que le système de secrets si cher aux fans de la première heure a été réintégré au scénario.
Pour finir, notez qu'une démo devrait être diffusée cet hiver et que, côté cinéma, Paramount Pictures et SCi ont repri les négociations pour le retour de Lara Croft dans les salles obscures...
Tomb Raider: Legend est toujours prévu pour le deuxième trimestre 2006 sur PS2, Xbox, X360 et PC.
Les jeux de course sur borne d'arcade occupent une place de choix dans le coeur des joueurs. Que ce soit pour les sièges baquets ou le fun de la compétition à 4, une petite course fait toujours plaisir. Midway continue sur sa lancée du retro gaming et a choisi d'éditer quelques classiques du genre, sur lequel on joue vite et bien.
Midway Arcade Treasures 3 reprend huit titres plus ou moins récents adaptés pour la PS2 et la Xbox. On rejouera donc, seul ou à plusieurs, à des antiquités comme S.T.U.N. Runner ou Badland (1989), ainsi qu'à des titres un peu plus récents, tels que Rush: The Rock (1997) ou Hyndro Thunder (1999). Même si les titres les moins vieux ne sont pas tout récents, c'est toujours sympathique de (re)jouer à ces jeux typiquement arcade. Certes, le siège baquet en moins.
Jusqu'ici, lorsqu'on souhaitait s'informer sur l'industrie du jeu vidéo, trouver un stage, voire un premier emploi, il était un peu compliqué de récolter des informations. Le Guide du Jeu Vidéo, dont la seconde édition sort aujourd'hui, se propose donc de réunir dans un fascicule de presque 200 pages ce type de données.
Divisé en quatre parties – le Marché, l'Annuaire, les Bonus et les Annexes – l'édition 2006 aborde de manière complète l'univers du jeu vidéo puisque la majeure partie des angles du secteur y est traitée.
Le Marché développe les thématiques suivantes : les forces en présence, l'avènement des consoles portables, l'histoire du jeu vidéo de 1958 à nos jours, les métiers du jeu vidéo, les jeux incontournables pour 2006...
L'Annuaire référence plus de 1000 contacts : constructeurs, éditeurs, développeurs, producteurs, distributeurs, prestataires, médias, formations, sites Web, organismes professionnels, etc.
Les Bonus et les Annexes contiennent la liste des salons internationaux, une filmographie, une bibliographie, etc.
Le guide est réalisé par deux habitués du milieu, David Téné et Laurent Defrance cumulant à eux deux près de 30 ans d'expérience dans le jeu vidéo. Ils ont débuté en collaborant au magazine Tilt, un nom qui rappellera de très bons souvenirs aux joueurs aguerris. Ils rencontrent les plus grands concepteurs mondiaux et organisent régulièrement le "Dîner des créateurs" qui réunit le gotha de la création française.
David anime des conférences et enseigne l'histoire du jeu vidéo à Supinfogame, la première école française formant aux métiers de cette industrie. Après avoir conçu, lancé et dirigé un grand nombre de magazines de jeux, Laurent a rejoint le Guide Du Jeu Vidéo afin de superviser le contenu rédactionnel.
Le guide est disponible chez les marchands de journaux ou par correspondance sur ce site, au prix de 19,90 €.
Développé par l'équipe française d'EKO Systems, Th3 Plan est un jeu d'infiltration et de stratégie nouvelle génération. Avant de voir quelles caractéristiques pourraient lui permettre de justifier cette appellation, voyons d'abord ce que son histoire a à proposer :
"Il y a cinq ans, la mafia engage Stephen Foster et Robert Taylor pour voler deux peintures mythiques. Pour eux, les plus grands voleurs du monde, cela aurait du être un jeu d'enfant. Mais Foster était devenu insatiable : au moment crucial, il sacrifia sans hésitation son partenaire et son équipe pour récupérer seul tout le butin. Aujourd'hui, cinq ans plus tard, l'heure de la revanche de Taylor est arrivée. Pour l'ultime hold-up, il a besoin d'une équipe de spécialistes, d'équipements de haute technologie ainsi que d'un plan sans faille : Th3 Plan."
Th3 Plan bénéficie d'un système d'écran partagé original : l'action se déroule simultanément sur 3 écrans un peu comme dans la série 24 par exemple. Le joueur peut ainsi diriger 3 personnages en même temps, surveiller les missions en cours et intervenir, si cela est nécessaire. Ce système devrait permettre de mettre en place "une atmosphère intense remplie de suspense".
En janvier 2004, l'équipe de Pendulo organisait un concours pour permettre à un joueur d'apparaître dans The Dream of the Turtle, la suite du sympathique jeu d'aventure Runaway. Elle dévoile aujourd'hui les résultats de cette opération à laquelle ont participé des milliers de joueurs du monde entier. L'heureuse élue est donc une jeune française de 17 ans, prénommée Camille. Vous trouverez ci-dessous des visuels du personnage secondaire modélisé à son image ainsi que l'une des photos qui ont servi de base à cette modélisation.
Concernant les nouvelles aventures de Brian et Gina, toujours prévues pour le printemps 2006 sur PC, sachez qu'un teaser de deux minutes sera très prochainement disponible (début décembre).
Dead or Alive 4 fait partie du line-up de sortie de la X360, et c'est tant mieux. Nous avons eu le plaisir de le tenir en main dans sa version preview : il ne lui manquait pas grand chose pour être opérationnel.
Grand concurrent de la série des Tekken sur Playsation, la saga Dead or Alive est devenue la figure de proue de la Xbox dans les jeux de combats. Dead or Alive 4 ne déroge pas à la règle : ce qui frappe avant même de commencer à se taper dessus, c'est la réalisation graphique. Une claque, au même titre que Project Gotham Racing 3. C'est bien simple, on croirait avoir une borne d'arcade dans son salon. Les décors sont terriblement bien animés, les détails sont extrêmement fins, à un tel point que l'on apprécie davantage de jouer avec un combattant féminin. Allez comprendre pourquoi.
Les arènes de Dead or Alive 4 sont assez bien conçues : sans fin apparente, elles jouissent d'une forte interactivité, autorisant les deux combattants à sortir des limites classiques d'un ring. Ainsi, dans les somptueux jardins, on peut se battre sur le pont de pierre, mais aussi en tomber... et continuer le match dans la rivière, avec de l'eau jusqu'aux genoux. Dans d'autres environnements, les bâtiments sont ouverts ; commencer un match dans la rue et le finir dans un casino, c'est tout de même original. Cependant l'exploration n'est pas libre et dépend fortement des coups portés à l'ennemi ; une défenestration dans les règles de l'art n'est possible que sur un coup long. Mais rassurez-vous, on se balade bien assez pour profiter des nombreuses variations des environnements.
Même si le solo répond au classique tournoi, notre préférence s'est spontanément portée vers le mode versus, qui s'est révélé bien plus prenant. En effet, une fois la compétition engagée, plus moyen de lâcher le pad. Qui a dit que les petites tenues des combattantes étaient nos seules motivations ?
A une semaine à peine de la sortie tant attendue par de nombreux joueurs de la X360, nous avons pu nous essayer à une version preview de Perfect Dark Zero, issu du studio Rare fidèlement voué à Microsoft depuis quelques années.
Et la première impression est sans appel : Perfect Dark Zero ne vaut pas l'attente qu'il nous aura fait subir. Sans prétentions graphiques, sans originalité, sans goût... Perfect Dark Zero nous a tout particulièrement déçu. A la limite, le gameplay peut redresser légèrement la barre. Déplacer l'héroïne Joanna Dark ne pose aucun problème, tout comme viser, tirer, actionner des interrupteurs, ce qui vaut mieux pour un FPS console.
Mais pour le reste, on repassera. L'ambiance techno-punk ne colle pas du tout, les maps sont simplistes et donnent une affreuse impression de déjà-vu, tout en étant assez mal pensées. On se retrouve par exemple plusieurs fois dans de grands hangars, à affronter une vingtaine d'ennemis à coups de pistolet automatique : pour une mission dite d'infiltration, c'est raté. A propos des ennemis, cette version preview semblait les gratifier d'une IA inexistante, ce qui ne nous a pas laissé le loisir d'apprécier leur efficacité.
Une grande déception, donc, vis-à-vis de ce titre qui aura été maintes fois repoussé, de la N64 à la Gamecube, puis à la Xbox, pour enfin atterrir sur la X360 parmi le line-up de sortie. Et, si rien n'a changé dans la version finale, il restera probablement dehors.
Après ces quelques heures passées à tester ces blockbusters en puissance, voici un échantillon de leurs impressions souvent très directes et, de ce fait, plutôt intéressantes. L'un de ces lecteurs a même eu la bonne idée de prendre des clichés de l'évènement pour que le partage soit aussi visuel. Dîtes, c'est démago de vous dire "vous êtes géniaux" ?
Les avis imagés juste après le lien "En savoir plus".
Alors que les USA n'en peuvent plus de faire la queue pour acquérir la toute nouvelle Xbox, en parallèle nous arrive ce qui pourrait bien être votre future plus grosse baisse de productivité pour l'année à suivre : la GP2X. Fonctionnant sous Linux, ce bijou supporte les formats MPEG, MPEG4, Divx 3/4/5, Xvid, WMV, quant à l'audio vous devrez vous contenter de lire vos Mp3, OGG et pour ceux que ça intéresse, les WMA.
Dotée d'un autonomie plus que respectable (6 heures en lecture vidéo, 10 heures en audio), elle permettra en attendant que les éditeurs ne se mettent à sortir des jeux dessus de vous occuper avec divers émulateurs tels que MAME, SNES, Genesis ou PC Engine. Il cotoiera sur les 64Mo livrés en standart d'autres émulateurs ou bien Quake, passé sous licence GPL il y a peu. Il est à noter que le SDK est livré avec la console.
C'est donc peut être aux yeux du grand public que le logiciel libre a un bel avenir? Pour le savoir, attendons un peu, mais pour commander, c'est ici et c'est moins cher qu'une PSP.
Caractéristiques techniques :
2 processeurs ARM (processeur maître ARM920T 200MHz + ARM940T dédié à la vidéo)
En attendant le 27 janvier 2006, date à laquelle la version française de Psychonauts sera disponible, son créateur Tim Schafer nous confie quelques détails sur son dernier bébé. Le projet tel que nous allons le voir bientôt a subi bien des changements et la version originale a tout simplement été mise au placard pour donner un jeu à l'univers déjanté où l'humour est omniprésent.
Il était question d'une aventure dans un asile psychiatrique avec comme héros un patient complètement dingue. Ce personnage principal est vite devenu un petit psycho, puis un gros et pour finir un doux dingue qui vivra sa première aventure dans un camp d'été, source de merveilleux souvenirs pour Tim Schafer.
Mais l'impulsion première de Psychonauts est de faire devenir réels les délires les plus fous qui se passent dans la tête des malades. En effet, un mégalo n'est il pas pour lui le maître du monde? Et si nous pouvions aller dans leur esprit, ne seraient ils pas les rois, dotés d'un vaste royaume peuplé de statues à leur effigie? En tous cas, c'est ainsi que le voit Tim Schafer, et il souhaite nous faire partager sa vision du monde intérieur de chacun à travers son jeu.
