- Éditeur Bethesda
- Développeur Splash Damage
- Sortie initiale 13 mai 2011
- Genre First Person Shooter
Team Fortress, Call of Duty, autant de licences qui trustent le haut du pavé dans les box offices du First Person Shooter. Pourtant, il n'y a pas si longtemps de cela un jeu avorté devenu gratuit nommé Enemy Territory faisait beaucoup parler de lui. Le bouche à oreille généré a permis à Splash Damage de retenter l'expérience avec moins de nazis, plus de budget et un zeste de parkour. Résultat ? La meilleure expérience de jeu en ligne depuis des années.
Une fois à terre, rien n'est perdu... à condition d'avoir un medic sous la main.
Au bord du précipice
L'enfer des armes
La roue des objectifs est vitale pour vous et votre équipe.
Tac Tac Badaboum
Les postes de commandement vous offrent divers coups de pouces pour progresser.
Blue Screen of Death
Gros nez et gueule cassé, pas de doute, les lascars de Brink sont uniques.
- Le besoin de coopérer
- L'implémentation des objectifs
- La personnalisation des armes et des personnages
- L'esthétique, à mille lieux de l'académisme des FPS
- Le SMART pas si gadget
- Le sound design aux petits oignons
- Sorti beaucoup trop tôt
- La VF sous lexomil
Dire que BRINK est un bon jeu est un euphémisme : il s'agit sans conteste du meilleur FPS multijoueur de ces dernières années, atomisant tous les FPS crypto-militaristes avec une aisance toute britannique. Généreux, subtil et intransigeant, de nombreuses parties seront requises pour parvenir à maîtriser la bête mais quelle extase à l'arrivée ! Hélas, dire que BRINK enregistre le démarrage le plus foireux de ces dernières années est aussi un euphémisme. La quantité de bugs et de plantages rebutera la plupart des novices et des amateurs de FPS "clés-en-main". Ce qui est, avouons-le, une p*tain de tragédie pour le jeu en ligne car BRINK ose changer la donne. Et il le fait avec classe et brio.