- Éditeur Bethesda
- Développeur Obsidian Entertainment
- Sortie initiale 22 oct. 2010
- Genre First Person Shooter
Après le tollé reçu par Fallout 3 auprès des fans de la première heure, Bethesda décida de passer le flambeau à Obsidian Entertainement pour créer une nouvelle mouture plus satisfaisante et cohérente. Fallout New Vegas est-il le messie tant attendu par les fans de jeux de rôle ou encore un fort potentiel bourré de bugs ?
Comptez dix heures pour rentrer dans le sanctuaire de New Vegas
Duck & Cover
Messieurs, rien ne va plus
Un nouveau menu fort utile est disponible pour contrôler vos compagnons
Les jeux sont fait
Attention ! Certaines zones de départ ne sont pas conçues pour les personnages débutants.
Le guide du routard radioactif
Le Lucky 38 est le bastion du mystérieux M. House
Mes yeux! Ils brûlent!
Certaines quêtes vous permettent d'aider les habitants du Nevada ou des tous les tuer
- Une liberté de jeu rarement égalée
- Le mode hard-core, bien pensé
- Vos choix comptent et changent la donne
- Un vrai travail de cohérence vis à vis de l'ensemble de la série
- Bugs, ralentissements et crashs
- Une version française inadmissible
- Un moteur graphique qui vieillit mal
Fallout New Vegas est bel et bien le digne héritier des épisodes originels. Possédant une trame extrêmement riche et une écriture inspirée et subtile, le nouveau bébé d'Obsidian ne dénigre ni la liberté offerte au joueur, ni l'impact de ses choix. Grâce à son système de jeu parfaitement calibré et simple, New Vegas ne se réserve pas aux joueurs hard-core et reste parfaitement accessible aux nouveaux venus de la série. Toutefois, ce concert de louanges n'est pas dénué de couacs. Les vieilles habitudes d'Obsidian ont la vie dure: le jeu est bourré à la moelle de bugs, empêchant même le bon déroulement du jeu! La traduction et également en dessous de tout pour un jeu de cette envergure. Résultat, l'immersion et le plaisir de jeu en souffre énormément. Si la communauté PC soignera bien vite tous ces vilains défauts, rien n'est moins sur pour nous, pauvres hères jouant sur console.