Devil May Cry est une série d'exception alliant avec panache frime surréaliste et action survoltée, le tout dirigé par Dante, figure de proue charismatique hors pair. Pourtant, le quatrième épisode comporte un changement de taille : notre bellâtre démoniaque préféré passe la main à un jeunot. Par la même occasion, quelques innovations prennent place pour moderniser le gameplay d'une série vieille de 6 ans. Passation de pouvoir ou simple interlude ?
Une demoiselle en détresse à sauver constitue le faible scénario.
Qui a tué le scénariste ?
Smokin’ Sick Style
Ce boss demande pas mal de doigté et une maîtrise parfaite du devil trigger.
Danger Diabolik
Triss et Lady font une courte appartion mais restent en pleine(s) forme(s).
Même joueur joue encore
Tout la surenchère de Devil May Cry se retrouve dans "l'arme" Pandora.
- Beau et fun
- Des cinématiques explosives
- Nero, intéressant à jouer
- Des boss gargantuesques
- Les modes de jeu bonus
- Le level design paresseux
- Affronter 3 fois les mêmes boss
- Trop gentil ?
Avec Devil May Cry 4, Capcom procède à une transition en douceur vers la nouvelle génération. Graphiquement et esthétiquement, le jeu tient toutes ses promesses et vous en met plein les mirettes. De plus, malgré les années, le gameplay développé avec Dante fait toujours mouche et les nouvelles modifications apportées par Nero apportent vraiment quelque chose à la série. Bref, que vous soyez un adepte du Dante Must Die ou juste amateur d'action, Devil May Cry 4 constitue un excellent défouloir doublé d'une mise en scène jouissive dans l'excès. Toutefois, devoir refaire les niveaux à l'envers et par la même occasion demeure vraiment poussif et gâche le plaisir de la redécouverte de Dante.