Le Twin Peaks des Prisunics
- Éditeur Rising Star Games
- Sortie initiale 25 avr. 2013
- Genre Aventure
Deadly Premonition a vite acquis le statut d'œuvre culte dans la ludothèque Xbox. Pour certains, c'était le jeu du siècle, pour d'autres une abomination. Naturellement, la PlayStation 3 s'est vue offrir sa propre version sous-titrée The Director's Cut. Si vous êtes toujours sceptique à l'idée de pénétrer dans l'antre de la folie, Gamatomic vous propose une visite guidée de Greenvale.
L'histoire
Le principe
York vole la vedette au reste du casting
Pour qui ?
L'enquête prend vite des tours bizarres...
L'anecdote
Des prémonitions, il y en aura beaucoup
- Du rire, des larmes et des frissons
- Une histoire atypique et haletante
- Greenvale, son charme atypique et ses habitants
- Le protagoniste
- Le sens du détail
- Des graphismes exécrables
- Le gameplay abominable
- Pas mal de saccades
- Les ajouts "director's cut" secondaires
Avec son gameplay et ses graphismes atroces, le bébé de SWERY 51 rebutera un très grand nombre de joueurs. Pourtant, un charme vénéneux se dégage de son histoire extrêmement bien fichue et de ses personnages foldingues. Si la partie survival-horror est atroce, il est possible de jouer au véritable de détective et là le jeu prend tout son sel. Il apparaît clairement que les développeurs ont passé des heures à peaufiner les détails : les indices sur le meurtre, les relations entre les habitants de Greenvale, etc. La masse de travail n'est pas dans la forme mais dans le fond. Deadly Premonition : The Director's Cut possède une chose qui semble absente de 99% de l'industrie du jeu vidéo actuelle : une âme.